1. Aux armes !


    Datte: 09/04/2020, Catégories: ffh, fbi, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, sf, couple+f,

    ... j’ai un plan pour que tu puisses souffler un peu. En passant, tu me dois 3500 ducats, plus intérêts : Alem m’a fait un prix d’ami, mais plus vite il est remboursé, mieux ça sera. Je sentais sa curiosité, qui se réveillait enfin. C’était l’une des manières de casser son humeur, lorsque celle-ci était plus sombre. Elle regardait la mallette que je transportais avec un certain degré de suspicion. — Tu sais que l’argent n’a jamais été, et ne sera jamais un problème. Qu’est-ce qu’il y a dans ça ? Je lui donnai un sourire moqueur, mais rien de plus. Nous y étions. Je payai pour la salle que j’avais réservée. — Pas d’équipement ? Je lui donnai un sourire énigmatique, mais rien de plus. Je la sentais irritée, mais elle n’entra pas dans mon jeu. L’endroit avait des salles pour se changer, mais comme nous avions la salle à nous seuls… Mylène mettait un vieux kimono gris, alors que j’y allais avec une de mes vieilles tenues de combat. — Le nom Myilenyis, ça te dit quelque chose ?— Non, à part que c’est une déformation de mon nom. Pourquoi ? Le démon t’a montré des choses ?— Non. Mais on m’a montré ton apparence angélique. Tu n’avais vraiment pas l’air commode. Elle avait réellement l’air surpris et un peu égaré. Bon, ça avait valu la peine même si ça avait été improbable. — Ta mère ?— Non. Ta nouvelle meilleure amie. En tout cas, je serai très fâché si tu es un ange infiltré ayant pris forme humaine et que tu ne me l’avoues pas maintenant.— Puis-je savoir quelle est la source de ce ...
    ... délire ?— Ta nouvelle meilleure amie.— Mais encore…— Tu remercieras ma mère, si un jour tu la croises. Je crois son cadeau légèrement empoisonné, mais… Elle allait répondre avec irritation, mais se dirigea plutôt vers la mallette, qu’elle ouvrit sans hésitation. Une exclamation de joie, quelques moments pour admirer l’arme, puis elle saisit la poigne et tira la lame hors de son fourreau. C’était beau à voir, son expression d’émerveillement et de béatitude la rendant encore plus belle que d’habitude. Pendant plusieurs minutes, le monde cessa d’exister, Mylène en parfaite communion avec son épée. Nous allions devoir faire très attention et y aller doucement ; on pouvait se blesser avec des armes d’entraînement et de l’équipement de protection, alors… mais c’était le meilleur moyen pour elle de bien comprendre son arme. Elle se leva, après un moment, avec un sourire retors, et attaqua. *** — Oooh ! Mais tu me boudes ! Arkel boude ! Arkel boude ! Un enfant dans une cour d’école n’aurait pas fait mieux. Mylène marchait en reculant devant moi, parlant d’une voix forte et moqueuse, s’assurant que tout le voisinage l’entende. Elle était comme ça, des fois, insupportable, une vraie peste, lorsqu’elle passait trop rapidement d’une humeur pessimiste et sombre à une allègre et débordante de confiance. Ça la rendait ivre de légèreté, et plus rien ne la modérait. Je serrai les dents lorsqu’elle vola des mains d’un adolescent qui faisait des graffiti sur un mur une bouteille aérosol de peinture ...
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