1. La visite surprise de Marion


    Datte: 26/06/2017, Catégories: hplusag, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme massage, pénétratio,

    ... comme en extase, les jambes écartelées, la fenêtre de son collant ouverte sur son ventre offert, appelant ma pénétration. L’un comme l’autre nous retenons notre respiration jusqu’au moment où toute la longueur de mon sexe la pénètre. Nous expirons alors tous les deux avec un gémissement de plaisir et de contentement. Les jambes repliées, accrochée des deux mains au rebord du lavabo, Marion se met à gémir en rythme, suivant mes assauts qui se font de plus en plus rapides. Je plane, grisé par ce cataplasme de peau de vingt ans. Me sentant partir, je crispe mes deux mains sur sa poitrine nue et dure comme du marbre. Marion pousse un cri aigu et se tord sous moi. Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine grâce au son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va-et-vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Je continue mon mouvement de va-et-vient sur le même rythme, la regardant prendre son pied, comme sa belle-mère quelques minutes auparavant. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l’orgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne, je ...
    ... plante ma bite au plus profond de son ventre et de puissants jets de sperme, brûlants et interminables inondent son ventre. Nous restons immobiles quelques instants, moi profitant de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l’orgasme, elle assimilant peu à peu tout le bonheur qu’elle vient d’éprouver. Marion laisse retomber ses jambes. Semblant revenir à elle, elle me sourit. — Hummmm ce que c’était bon ! s’écrit-elle. Elle m’enlace dans ses bras, colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné qui soit, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau. Saisissant mon membre à demi dur, elle le caresse doucement, comme pour le remercier de son orgasme. Puis elle regarde sa montre. — Mince je vais être en retard ! s’écrit-elle, s’engageant dans le salon. Elle se rhabille. — Tu pars ? lui dis-je.— Oui, j’ai promis à Maryse de rentrer de bonne heure pour que nous puissions aller ensemble déguster une pizza. Après son départ je m’assieds sur le divan, la tête lourde, en proie à de fortes sensations. À suivre… 
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