1. Orphée et Alex (1)


    Datte: 10/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... envie d’être à lui. Il lui a passé maintenant, elle suppose que c’est cela, des bracelets aussi à chaque cheville. Puis, ses jambes aussi sont réunies par ces bracelets, mais elle ne comprend toujours pas comment. C’est autour de son cou que les doigts ferment désormais ce qui lui parait être un collier de cuir très large. Sur ce collier, elle sent encore autre chose qui lui coure le long du dos, pour venir jusqu’à ces pieds. — Ne t’inquiète pas ma chérie, c’est juste une cape de soie noire, juste pour que tu ne sois pas totalement nue. Elle ne pige pas ce qui se trame, mais bon jusque-là, il a toujours été correct et prévenant. Elle ne s’est jamais montrée réticente à ces jeux et il a su lui donner tellement de plaisir par ceux-là qu’elle ne veut pas s’inquiéter. — Ouvre la bouche mon Amour ! Elle s’exécute, pensant que puisqu’elle est allongée sur le lit, il va lui demander une fellation, ce qui lui donne là encore, une montée d’adrénaline supplémentaire. Rien de tout ceci, juste quelque chose d’assez long, de froid, comme du caoutchouc, du latex peut-être, pas très volumineux, mais juste assez pour qu’elle ne puisse plus refermer ses mâchoires. Un étrange objet lui est glissé dans la bouche. Le tout est maintenu en place par une lanière dont elle entend un mécanisme se refermer sur sa nuque. Elle voudrait parler, crier, mais les sons restent bloqués dans sa gorge et la peur commence à s’insinuer en elle. Une peur qui a un effet pervers, celui de la faire mouiller ...
    ... abondamment. — Bien, mon Trésor, te voilà prête, nous allons faire un petit voyage et enfin, tu vas me payer ce gage que tu me dois depuis l’autre nuit. Mais rassure-toi, je suis avec toi, près de toi et personne ne te fera de mal, enfin rien de ce que je ne voudrai pas. Alex empoigne maintenant son épouse par le torse, il la remet debout devant le lit et elle grogne, c’est inaudible, mais il sait qu’il ne lui a pas fait vraiment mal. Il la soulève maintenant et il se dirige vers le garage, ouvre le coffre de sa voiture et sur une couverture qu’il a placée par avance là, il dépose son précieux fardeau avec mille délicatesses. Le coffre se referme, le destin d’Orphée est scellé. Dix minutes, pas une de plus pour rejoindre le parking souterrain qui dessert le sex-shop où il a affiché ses attentes une semaine plutôt. Il n’a pas de chance, pas de place tout près des escaliers. Tant pis ! Orphée marchera un peu c’est tout. L’ouverture du coffre, elle ne peut que l’entendre, elle est toujours aveugle et muette par la force des choses. Elle voudrait savoir ce qui se passe, mais il ne parle pas. Elle perçoit quand même le bruit que fait la chose qu’il vient de fixer à son collier. Elle sent également qu’il vient de se baisser et qu’il touche les bracelets de ses chevilles. Enfin, juste une légère secousse et elle est forcée d’avancer, tirée par le cou, il lui a donc posé une laisse ou une chaîne ? Où sont-ils, le bruit de ses pas, des escarpins qu’il lui a remis aux pieds, les bruits ...
«12...567...»