1. Bois de Vincennes...arrière du champ de courses (1)


    Datte: 11/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Il y a longtemps.. Mais cette soirée, comme beaucoup d autres après, est restée gravée dans ma mémoire. Cette histoire est véridiquement réelle. Elle fut la réalisation d’un fantasme de la part de ma femme, comme surement de la mienne et.... Le commencement d’autres chaudes "sorties" Nous avions l’habitude de sortir dans des restaurants et notamment un que nous aimions particulièrement, « l’Éléphant Bleu », à Paris. Chaque soirée d’amoureux que nous faisions, ma femme s’habillait chic et pour me plaire portait bas nylons et porte-jarretelles avec de la lingerie fine. Un soir d’octobre, proche de mon anniversaire, la température à Paris était douce sans être chaude, disons très agréable. Ma femme pris le temps de se pomponner et de porter une robe légère couleurs verte très décolletée… son petit sac à main noir (mes doubles de clefs de voiture, son maquillage…), bas noirs, lingerie blanche, talons hauts noirs et un manteau noir en fourrure (fausse). Je la trouvais excitante et bien bandante, donc très à mon goût ! Direction le restaurant où j’ai retenu une table... Le trajet est agrémenté de caresses qui permettent à mes doigts d’atteindre, très aisément, la lisière du bas nylon, là où la peau se fait douce et chaude, et même de se poser sur le renflement de son Mont de Vénus qui, peu à peu humidifie la dentelle sous le toucher. La soirée est agréablement pimentée de quelque coquineries polissonnes (son pied nu qui sous la nappe caresse mon sexe… aperçu de la poitrine dans ...
    ... la profondeur du décolleté... allusions coquines pour la fin de soirée et le retour à la maison…). Le repas « royal » est épicé et un peu arrosé par le vin, surtout elle, moi je conduis. L’addition payée, ma femme me fait part de son désir d’aller marcher un peu avant de rentrer. Ce à quoi, j’ai un peu de mal à accepter vu l’état dans lequel ses promesses m’ont mis. Nous prenons notre vestiaire. C’est le moment que ma femme choisi pour se rendre à la salle de toilettes des femmes se repoudrer. C’est long, mais je sais aussi qu’il faut être patient.... Elle revient enfin... Son manteau est fermé, son œil est coquin tout comme son sourire. J’ai dans l’idée qu’elle a enlevée sa petite culotte et que celle-ci trône dans le petit sac à main. Nous sortons. L’auto nous attend. Je lui ouvre la portière et tente de laisser traîner mes yeux sur ses jambes pour vérifier mais elle rie et les sert pour que je ne vois rien. Évidemment dans l’auto, je tente bien de glisser ma main mais elle me dit « patientes un peu ». Ok. « Où veux-tu aller ? » … « Au bois de Vincennes, derrière le champs de courses où nous sommes allés la semaine passée marcher avec nos chiens », me répond-t-elle. Pendant le trajet, à part caresser sa main, impossible de jouer sous le manteau ni la robe. À mon avis, je vais avoir droit à un petit câlin très coquin dans pas longtemps où je vais pouvoir à ma guise jouer avec son petit bouton…. Elle me guide vers un endroit où elle souhaite que je stationne l’auto, un petit ...
«1234»