1. Jeux coquins sur une plage paradisaique


    Datte: 12/04/2020, Catégories: grp, couplus, extracon, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, intermast, pénétratio, échange, jeu,

    ... s’amusant à leur tapoter la joue avec le gland, le frottant contre les joues, dessinant le relief de leurs pommettes saillantes ou l’arête de leur nez, le déposant à l’entrée de leurs bouches haletantes avant de l’y enfoncer à tour de rôle. Celle qui ne l’engloutissait pas lui léchait avec frénésie les bourses et le début de la hampe. On aurait dit un combat épique pour la survie de deux gloutonnes se disputant amicalement une sucrerie. Je pistonnais Céline, glissant une main sous son ventre pour caresser son clitoris. Sa chatte était onctueuse et ma queue dure comme un roc. De temps en temps je jetais un regard à celle de Greg qui disparaissait dans celle de ma femme et cette vision provoquait à chaque fois comme un électrochoc qui amplifiait encore mon excitation. Je vivais des moments comme suspendus hors du temps et de l’espace : mon épouse s’offrait avec indécence et sans retenue à une grosse bite qui lui labourait la fente et à une autre qui lui comblait la bouche ; aucune des deux n’était à moi puisque la mienne était plantée dans la chatte d’une superbe étudiante tout aussi chaude et déchaînée. Et je bandais dur comme jamais de voir ma femme se faire baiser ainsi, en redemander, se donner sans retenue comme une salope (au sens noble du terme), en laissant ses fantasmes enivrer ses sens et sa raison se perdre entre ses cuisses. À cet instant je l’aimais à la folie. Quand elle sentit la première onde de plaisir déferler dans son ventre, elle se courba davantage pour ...
    ... se donner totalement. Elle jouit longuement, sa bouche en apnée sur la queue qu’elle avait arrêté de pomper, ses fesses tendues vissées à celle qui la pénétrait et, lentement, comme plombée par le plaisir qui coulait dans ses veines et irradiait sa peau, elle s’affala sur la couverture, un sourire de plénitude et de contentement illuminant son visage. Ses paupières se plissèrent et elle me fixa intensément alors que Céline la rejoignait dans sa jouissance dans un cri que Laurence étouffa avec ses lèvres. Nous les contemplions ainsi étendues, leurs corps nus et bronzés enchevêtrés, leurs yeux voilés, leurs jambes emmêlées, leurs sexes écarlates : elles étaient belles. Elles se retournèrent sur le dos ne cachant plus rien de leurs intimités. Je m’approchais de ma femme et l’embrassait passionnément. Sa main se posa sur mon sexe toujours dur et elle me dit « hum … à mon tour de te faire jouir … mon chéri …». « Oui les garçons … c’était si bon que vous méritez bien qu’on vous les fasse gicler maintenant vos belles queues … » affirma Céline. — oui … hum … on va vous goûter tous les trois …— oh … très bonne idée … comme çà il n’y aura pas de jaloux, répliqua Céline, chacun la même chose …, puis en riant, … à la queue le leu …— c’est subliment trouvé comme image … vous à la queue le leu … et nous les petites chaperons nues qui, au contraire de l’histoire, vont dévorer les loups … ou plutôt les queues des loups …— on commence par Mathieu et on termine par nos hommes ?— ok … Elles se ...
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