1. Banquière perverse (23)


    Datte: 12/04/2020, Catégories: Hétéro

    ... je lui éjacule dans la bouche ; elle aspire, avale et lèche ma bite toute baveuse de sperme puis la range dans son étui. — Humm… ! Ça fait du bien n’est-ce pas ? interroge ma chérie. — Tu veux dire génial ! Et cette petite exhibe m’a fait un tel effet, qu’il faudra le refaire ! — Tu as vu ça un peu ! Elle ne t’a jamais fait ça, je suis sûr ? — C’est vrai, t’es une championne ; ma Chérie, je t’aime ! — Moi aussi, je t’aime ! Alors, un point pour moi ! Et maintenant, tu vas être obligé de me récompenser ! — Dis-moi, on dirait que tu vas de mieux en mieux ? — Oui, les médicaments que m’a donnés le toubib sont vraiment efficaces ! Ah, on arrive, tu as la télécommande du portail ? — Oui, là au milieu. Je gare la voiture dans la cour et nous rentrons dans la maison. Nous voici seuls tous les deux. — Allez mec ! À poil, attends-moi dans la cuisine, j’arrive ! À peine le temps de me déshabiller qu’elle apparaît entièrement nue et un tube à la main. Elle s’assoit puis s’allonge sur la table de la cuisine. — Lèche-moi et fais-moi l’amour, tu me dois bien ça ! — Bien Madame, avec plaisir ! Je lui lèche la minette, il est vrai qu’elle a envie ; sa fente dégouline de cyprine au goût si doux. Puis ma langue se régale de son clito qui, une fois lapé avec soin ; c’est au tour de ses petites et grandes lèvres de se faire copieusement lécher. Je ne peux pas passer mon doigt devant sa grotte sans y avoir introduit tour à tour ma langue et mes doigts puis, je lui offre mon dard tendu comme un ...
    ... arc. Cette fois elle glousse, et crie de bonheur en arrivant à l’orgasme qui déboule d’un coup, sans prévenir. Ensuite elle se retourne comme si ce que je venais de lui faire était d’une extrême banalité ; elle me tend le tube de pommade prescrite par le médecin. — Crème-moi, maintenant … — Le cul ? — Non sale vicieux, les fesses et le dos ; tu ne penses qu’au cul ; toi ! — Eh bien toi ! Tu ne manques pas de toupet ! — Allez ! Dépêche-toi, après on va appeler la petite Sophie ! — Cool ! — Est-ce que j’ai encore des marques dans le dos et sur les fesses ? — Presque plus, je pense que demain il n’y paraîtra plus rien. — Tant mieux, je ne voudrais pas que Sophie voit ça ; on ne parle pas de ce qu’il s’est passé, hein ? — Évidemment ! Mais tu as l’intention de te faire la petite… — Pas toi ? N’oublie pas que tu as une longueur d’avance sur moi ! Et je te rappelle que j’aime aussi le faire avec des femmes, alors… — Bon, OK ! Je m’incline. J’ai fini de tartiner ma Chérie, et je n’ai pas lésiné sur la quantité ; le toubib avait dit : « en couche épaisse ! » Alors j’ai respecté la consigne. — Tu devrais mettre un tee-shirt, ma Chérie, car autrement tu vas en mettre partout ! — OK ! Je vais en cherche un et on téléphone à Sophie ! Sitôt dit, sitôt fait, elle enfile un vêtement et cherche dans son répertoire, met le haut-parleur et enclenche l’appel ; ça sonne. — Allô… — Coucou Sophie, tu vas bien ? — Gladice ? Cool, ça va ? Tu veux un rendez-vous pour une épilation ? Je suis de repos ...
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