La petite nouvelle
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... généreuse et qui allait bien avec de belles petites fesses qui avaient l’air assez dures, merci. Ah ! Les joies de la jeunesse. J’enviais son copain qui profitait sûrement avec plaisir de ce beau petit brin de femme. Comme je vous l’ai mentionné, j’attire les confidences, ce fut pareil avec Cindy. Après quelques jours de travail ensemble, elle avait commencé à me raconter un peu sa vie. C’était son premier « vrai » copain, elle n’avait pas connu beaucoup d’autres gars dans sa vie et son mec était plutôt du genre vite fait au lit. Bref, il ne savait pas ce qu’il manquait et Cindy devait régulièrement « finir le travail » elle-même afin d’être comblée, ce qui l’irritait un peu. J’avais le double de son âge et je tentais d’être un peu détaché lorsqu’elle me racontait ses histoires, même si les quelques détails dévoilés causaient un certain inconfort dans mon pantalon. Je lui ai suggéré quelques méthodes afin de rendre son homme plus patient, allant jusqu’à lui suggérer de lui faire une fellation afin qu’il la pénètre. — C’est que je n’ai jamais sucé un homme avant, me dit-elle.— Ah non ? Cela m’étonne avec tout ce qu’on entend de la sexualité des jeunes de nos jours.— Je dois être l’exception à la règle, j’aurais besoin de quelques conseils techniques.— Bon, je pense qu’il faudrait plutôt reprendre notre travail et nos dossiers. Je lui avais dit cela peut-être un peu sèchement mais la conversation commençait à être un brin torride et je ne voulais pas me trouver avec une ...
... plainte pour harcèlement sur le dos. Le lendemain, un vendredi, je remarquai que Cindy était vêtue d’une jupe assez courte et d’un chandail qui lui moulait avantageusement la poitrine. Ses petites jambes bronzées étaient un plaisir à regarder et je devais me concentrer sur le travail à chaque fois qu’elle venait déposer sur mon bureau un dossier que je lui avais demandé. En début d’après-midi, elle me demanda de l’accompagner au secteur des archives, situé au sous-sol de l’entreprise, car elle avait de la difficulté à retrouver un dossier. Ce n’était que la deuxième fois que je me rendais à cet endroit, car elle se débrouillait habituellement parfaitement bien seule. Pendant la descente en ascenseur, alors que nous étions plusieurs dans la cabine, elle se tenait près de moi. Puis, au rez-de-chaussée, alors que tout le monde descendait sauf nous, elle demeura très près. Sa tête arrivait à la hauteur de ma poitrine et j’avais évidemment une vue avantageuse sur le décolleté de son chandail et surtout sur ce qui se trouvait à l’intérieur. La salle des archives se trouvait à l’extrémité du sous-sol. La porte, une fois refermée, se verrouillait automatiquement. Cindy se dirigea vers le fond de la pièce et m’indiqua qu’elle devait descendre une boîte afin de valider les dossiers se tenant à l’intérieur et trouver celui que je cherchais. Elle monta sur une échelle devant moi en me demandant de la sécuriser. Je n’avais vraiment pas beaucoup d’endroit où la tenir sauf, bien sûr, ses fesses ...