La plage (2)
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
Hétéro
... autres étant retournés s’allonger, seul ou à deux. Nous nous sommes souri, j’ai gardé Pauline sur mon sexe et je l’ai portée hors de l’eau. Nous nous sommes allongés à notre tour, elle sur moi, toujours vissée sur mon membre. Une légère torpeur nous a envahis et c’est enlacés, enfichés et complices que nous avons cédé à une petite sieste. Lorsque je m’éveillais, une heure plus tard environ, Pauline dormait toujours, elle était maintenant à côté de moi. Je contemplais son corps superbe, sa respiration soulevant légèrement ses seins que je mourrais d’envie d’embrasser. Son ventre plat et parfait, ses épaules délicates que j’aimais si souvent admirer chaque fois qu’elle portait une robe les mettant en valeur. Son visage fin, sa bouche si gourmande lorsqu’elle me dévore, ses joues douces, ses yeux rieurs, si apaisés maintenant qu’elle somnolait. Mon regard s’attarda ensuite sur ses jambes, longues et douces, ses pieds fins. Tout en elle me donnait envie de l’embrasser, de la savourer avec tendresse. Plus que tout, c’est son sexe qui me fascinait. Un petit abricot épilé, offert aux regards et si prompt à réagir aux caresses… Combien de fois mes doigts, ma bouche, mon sexe l’avaient exploré et jamais je ne m’en lassais. Bien qu’elle préférât que je l’emplisse de ma queue, je prenais un plaisir réel à lui prodiguer des cunnis chaque fois que l’occasion se présentait. Je m’enivrais de sa cyprine, abondante, qui ne manquait jamais de couler de cette adorable fontaine après quelques ...
... coups de langue bien ajustés. J’admirais son corps merveilleux, me réjouissant de la chance que j’avais de partager ses fantasmes et ses plaisirs. Même en dormant, son corps respirait la sensualité et le désir. De la voir ainsi offerte, je ne résistais pas très longtemps et je vins déposer un baiser au creux de sa cuisse. Ma bouche s’attardait sur sa peau claire et douce. Délicatement, j’embrassais ainsi toute sa jambe jusqu’au genou, faisant glisser mes lèvres sur chaque centimètre carré de sa chaire enivrante. Je remontais ensuite de la même façon son autre jambe jusqu’à l’aine. Lorsque mon visage passa près de son sexe, je sentis ses effluves intimes, qui, pareilles aux phéromones des papillons, me mirent en érection immédiate. Mon excitation montait, mais je voulais qu’elle aussi soit prête avant de la pénétrer. Je venais donc lécher tendrement l’intérieur de ses cuisses au niveau de sa vulve, en prenant soin de ne pas toucher son sexe trop vite… puis délicatement ma langue vint parcourir ses grandes lèvres, s’insinuant ensuite avec douceur en les grandes et petites lèvres. Mes caresses la tirèrent ainsi doucement de sa rêverie, car je sentis son corps vibrer légèrement et sa respiration s’accélérer… ses mains vinrent se poser sur ma tête pour guider mon mouvement et imposer son rythme. Je me laissais mener de la sorte vers son clito, que j’aspirai avec douceur. Il se mit à gonfler, et je pus alors le titiller avec ma langue et mes dents. Les mains qui me guidaient ne ...