Du fantasme à la réalité - Histoires de Sexe

Du fantasme à la réalité

... assouvissant mes fantasmes. Au petit matin, je sens le gode bouger dans mon cul. Ma femme est tournée vers moi et sourit en jouant avec le gode. — Alors, petit esclave, tu as bien dormi ?— Par à-coups, ma Maîtresse adorée.— Bien ; tu me fais ma toilette puis tu vas faire le ménage pendant que je vais faire des emplettes. Nous passons dans la salle de bains après m’avoir détaché et enlevé le gode. Je m’aperçois dans la glace en culotte, et immédiatement je me mets à bander. — Je vois que tu n’as pas changé d’avis dans la nuit et que cela te fait toujours de l’effet. Nous passons tous les deux sous la douche et je la lave du mieux que je peux en n’omettant pas de faire virevolter mes mains sur son corps. — À genoux : j’ai une envie du matin. Je me mets dans la position et ouvre la bouche. Elle écarte les jambes pour se placer bien au-dessus de la bouche et lâche son urine du matin, qui est un peu plus forte que la veille au soir ; mais avec l’eau de la douche, la quantité est plus importante aussi. Je la sèche et nous descendons, elle habillée et moi avec une culotte propre pour tout vêtement. — Je pars en course pendant que toi tu fais le ménage. La matinée se passe en faisant le ménage quand enfin elle revient. — Regarde ce que je t’ai acheté… Et là, elle me présente des petites culottes, une guêpière, des bas, un tablier de bonne, des mules à frous-frous sur le dessus. — Je ne vais pas te prêter mes sous-vêtements continuellement. Donc je t’en ai acheté. Va dans la chambre ...

... mettre la guêpière, les bas, une culotte, le tablier et les mules. N’oublie pas de te mettre un plug aussi. Celui qui est noir. Mes yeux s’arrondissent car le plug noir doit bien faire 4 cm de diamètre ; celui d’hier soir n’en faisait que 2. — Oui, ma Maîtresse adorée. Je monte me changer et mon excitation est grande jusqu’au moment de me mettre le plug, où toute bandaison est oubliée. Le moment est rude mais que ne ferais-je pour ma nouvelle Maîtresse adorée ? Je redescends comme si je marchais pieds nus sur des gravillons, car je ne suis pas habitué aux mules, mais le plug me remplit à l’extrême. Ma Maîtresse adorée est dans le salon, assise sur le canapé, tenant un verre à la main. En face d’elle est en attente un tabouret avec un autre verre à whisky en attente pour moi. — Comme tu es belle ainsi vêtue… Assieds-toi, et buvons un apéritif pendant que nous discuterons. Le plug est gros, debout, mais devient énorme quand je m’assois. Il me remonte à l’extrême. Pour être plein, ça je le suis. Je prends mon verre en changeant de fesse tout le temps. Catherine trinque et je trempe mes lèvres. M’attendant à boire du whisky, je suis surpris de trouver dans le verre de l’urine de Catherine. Voyant ma tête, elle rigole à gorge déployée. — Bien, mon chéri ; depuis hier soir, tu vas de surprise en surprise. Je voyais bien que tu t’excitais sur des sites pornos et en lisant tes histoires. J’ai regardé par curiosité, et comme je t’aime, j’ai décidé de donner suite à tes fantasmes. Cela ...