Du fantasme à la réalité - Histoires de Sexe

Du fantasme à la réalité

... semble se distendre. Après un temps indéterminé – mais semble-t-il avancé dans la nuit au vu de ce que j’ai bu et que j’ai dans le cul – j’entends ma femme raccompagner ses copines en se promettant de recommencer rapidement. Elle arrive après quelques instants pour me libérer. — Tu vas ranger le salon pendant que je me couche. Tu vas tout garder dans ton cul pendant le rangement, et tu me demanderas l’autorisation pour te vider. Ensuite tu viendras me boire. Elle libère mes membres et part. Je me lève avec difficulté en extrayant le plug de mon cul sans perdre de liquide. Je range le salon en serrant les fesses. Au nombre des verres, elles devaient être une douzaine de filles, d’où la quantité que moi j’ai bue et reçue dans mon cul. Enfin fini le rangement, je monte à l’étage. — Ma Maîtresse adorée, je peux aller me vider maintenant ?— Tu peux, mais au rez-de-chaussée ; comme ça, tu pourras rêver en pensant à mes copines ! rit-elle. Je descends, m’installe et je me vide, pour mon plus grand soulagement. Cela dure, tellement il y en avait. Je remonte et je me couche dans la salle de bains pour que Catherine puisse venir me faire boire son liquide doré. Une fois fini, elle m’emmène dans la chambre afin que je puisse la lécher pour la faire jouir. Mais auparavant elle me glisse un plug de 5 cm dans le fondement qui est déjà très bien dilaté. Puis je m’installe pour faire mon ouvrage. Après avoir joui, elle se tourne pour dormir. — Bonne nuit, mon chéri. Garde ton jouet pour ...

... la nuit. Au fait, je recommence dans 15 jours, mais avec les maris. Sauf toi, puisque tu seras pris ce jour-là. Le lendemain matin elle se réveille doucement. Je m’empresse de descendre lui préparer son petit déjeuner. Elle s’installe avec un sourire radieux. — J’espère que tu as passé une bonne soirée. Pour moi, je me suis bien amusée. J’ai eu une idée hier soir en pensant à toi sur ton fauteuil : tu vas créer une chaise de salon avec un gode qui oscille de haut en bas.— Oui, Maîtresse adorée. Chose commandée, chose faite rapidement. Je lui présente mon objet réalisé avec un moteur silencieux et télécommande. — C’est très bien, mon chéri ; nous allons l’essayer ce soir en dînant avec mes amies Christiane et Sophie.— Mais, Maîtresse adorée, elles vont le voir.— Ne t’inquiète pas ; nous serons les seuls à le savoir. En fin d’après-midi, ma Maîtresse me présente un pantalon à mettre pour le dîner. Celui-ci est ouvert à la couture pour pouvoir me faire sodomiser sur la chaise. — Avant qu’elles n’arrivent, tu iras t’asseoir sur ta chaise et tu n’en bougeras plus de la soirée.— Bien, Maîtresse adorée. Peu avant 19 h, je pars dans la salle à manger m’empaler et reste devant mon assiette. Ma femme pose à côté de moi des béquilles anglaises et repart. Je crois avoir compris l’excuse pour ne pas me lever. À 19 h 30, on sonne à la porte : c’est Christiane et Sophie qui arrivent. Ce sont deux amies de longue date de ma femme, et je crois qu’il existe entre elles une complicité à toute ...