1. La partouze


    Datte: 27/09/2017, Catégories: grp, jeunes, inconnu, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, préservati, double, fdanus, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe champagne,

    ... bon cœur. Jessica n’avait plus l’exclusive des cris, elles se mettaient toutes à en pousser. De tous côtés fusaient deshmmm, aaah, ooooh, haaan ! Un moment, j’ai dû faire un gros effort de concentration pour ne pas venir, j’étais au bord du gouffre, mais j’ai évité la tempête. Brunette a changé de position la première. Elle s’est mise à quatre pattes et, en se retournant, a pris mon sexe dans une main pour le guider vers sa rondelle. Le trou ayant été déjà bien dilaté par mon pouce, j’y suis entré comme dans du beurre. Ensuite, Murielle a attrapé Julien par le bras et lui a dit : — À mon tour, viens me défoncer le cul ! Elle s’est retrouvée à quatre pattes, Julien planté derrière elle, les mains tenant ses hanches, la bite enfoncée dans son anus. Puis, Jessica a suivi avec le dernier gars. On formait une sorte d’étoile à trois branches. Au centre, les filles avaient sorti leurs langues qui s’enroulaient, se déroulaient, se léchaient. On est restés comme ça plusieurs minutes ; ça criait, grognait, par toutes les bouches. Puis Julien a dit : — On change de cul, les gars ! On s’est retirés tous les trois, on a remis de nouveaux préservatifs et on a tourné dans le sens des aiguilles d’une montre. J’étais maintenant en train d’enculer Murielle. Comme on avait des capotes à profusion, on s’est permis de jouer ce jeu-là encore plusieurs fois. Je ne pourrais pas dire quel est le cul qui me plut le plus. Mais je me souviens avoir bien aimé les fesses un peu potelées de Jessica, ...
    ... j’avais apprécié de les voir onduler à chacun de mes coups de boutoir. Je ne sais plus combien de temps on les a pistonnées comme ça, mais ça ne devait pas être triste. J’étais maintenant revenu derrière Brunette et, à vrai dire, j’en pouvais plus, j’étais au bord de l’explosion. À voir, et entendre, les rictus et les grognements de mes deux comparses, ils ne devaient pas en être loin, non plus. J’ai presque gueulé : — Oh putain ! Je vais gicler ! De concert, les deux autres ont dit : — Ouah, moi aussi ! Brunette s’est retirée dare-dare. Je me suis relevé, elle s’est retournée et s’est plantée à genoux devant moi en prenant ses seins dans ses mains. Elle les pressait l’un contre l’autre. Les autres filles ont fait pareil. Murielle avait un peu plus de mal avec ses petits nénés mais je trouvais qu’elle se débrouillait pas mal tout de même. On a viré nos capotes et on s’est branlés. Je crois bien que je suis parti le premier, mais je ne le jurerais pas. Ça n’arrêtait pas, de longs jets chauds s’écrasaient sur les nibards de Brunette. Je lui en ai même mis un filet dans les cheveux ; sur le coup, j’étais un peu désolé, je trouvais que ça faisait comme une tache sur un joli tableau. Les filles se caressaient, étalaient tout le foutre sur leur peau, leurs bouts. Pour sortir les dernières gouttes, elles nous ont attrapés les queues, nous ont branlés en serrant bien comme pour nous essorer. Finalement, ça avait un petit côté surréaliste, je venais de baiser cette fille par tous les trous, ...