L'étalon aiguille (Tome 2) (6)
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... permettait l’accès au bar-restaurant, tandis qu’un ascenseur panoramique emmenait aux chambres d’hôtel situées au deuxième niveau. A droite se trouvait le vestiaire. La galerie centrale desservait les quatre salles de danse, chacune ayant son propre thème. La salle appelée "Années folles" était spécialisée charleston, swing et danses de salons; dans "Les Eternels", on s’adonnait à la fièvre disco ou au rock ’n roll, sans négliger de temps en temps les plaisirs d’une série de slows; "Musique du Monde" permettait de connaître les joies des zouks, salsa, reggae et autres mambos; enfin le nom de la dernière salle, "Techno House Party" affichait sans ambiguïté son programme ! Chaque "dancing room" était agencé de la même manière : une piste de danse au centre, entourée de tables basses avec des poufs tout autour. Quand les danseurs voulaient faire une pause, ils se rendaient au bar en forme de fusée situé au milieu de la galerie et retournaient siroter leur consommation en écoutant leur musique préférée. Tout était vraiment étudié pour que n’importe quel public y trouve son compte. Après avoir consulté l’écran géant qui indiquait la couleur musicale du moment de chacune des salles, je décidai de commencer par un petit voyage dans les Iles. Alors que je zoukais nonchalamment, mon regard ne tarda pas à être attiré par un couple. Lui était Antillais, grand et manifestement adepte du culturisme; il portait un pantalon de cuir noir et un débardeur qui lui permettait d’exhiber "l’air ...
... de rien" des biceps survitaminés. Sa cavalière était une magnifique métisse qui devait mesurer pas loin d’un mètre quatre vingt. Plus je l’observais (le plus discrètement possible, malgré tout), plus chaque détail que je notais me plaisait : tout d’abord, elle était chaussée de genouillères en cuir noir aux bouts très effilés et à hauts talons (une dizaine de centimètres à vue de nez). Ces bottes sublimes étaient surmontées d’une mini-robe de la même couleur, en cuir elle aussi. Elle tenait attachée en haut par deux fines lanières clipsées sur la nuque et laissait le dos entièrement découvert, ce qui me permit de constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge dessous. Quand la musique vira du zouk à la salsa, ils retournèrent s’asseoir à coté d’un autre couple d’Antillais. Pour ma part, je dansai encore un peu en solitaire, puis changeai de salle. En entamant une série disco, je me dis qu’il était plus que probable que je croise à nouveau les pas de cette "booted black beauty" Effectivement, quand trois quarts d’heures plus tard, je pénétrai dans le restaurant, je les vis attablés tous les quatre. Le deuxième garçon était lui aussi du genre baraqué, mais un peu plus râblé et il avait le crâne complètement rasé. Avec de tels chevaliers servants, les deux filles ne risquaient pas d’être importunées ! J’ai tendance pour ma part à préférer les filles presque androgynes à celles qui ont beaucoup de formes, c’est sans doute pourquoi autant la première m’avait fait de l’effet, ...