1. Ma Logeuse Ch. 10


    Datte: 16/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Non, pas d'apéro pour toi ce soir petit-puceau, c'est la deuxième partie de ta punition. Ce soir, tu ne mange pas à table avec nous, tu mangeras sous la table » Je blêmis un peu devant l'humiliation d'être traité comme un chien par ces deux femmes et commençait à me demander quand ces punitions allaient cesser mais je ne dis rien et parti dans la cuisine pour commencer à mettre la table. J'étais en train de prendre les assiettes quand Hélène me rejoignit. Elle ouvrit un placard, en sortit une gamelle pour chien en métal, et me la tendit. « Tiens, c'est pour toi...tu l'installeras sous la table » Effaré devant la tournure que prenaient les événements, je ne répondis rien et mis deux couverts à table, plus mon écuelle en dessous. Les deux femmes s'installèrent calmement et Hélène m'ordonna de leur amener le hors-d'œuvre ainsi qu'une bouteille de vin. J'amenais donc l'assiette de charcuterie prévue en entrée ainsi qu'une bouteille de Chablis fraîche. Sitôt qu'elles furent servit, Hélène me demanda me mettre à genoux sous la table et d'attendre qu'elles me donnent à manger. Je passais donc sous la table, entre elles deux que j'entendais discuter sans trop comprendre ce qu'elles disaient. Je ne voyais au début que leurs jambes, mais très vite, je vis un peu plus que cela. Hélène avait desserré les cuisses et, dans sa position assise, sa robe de chambre s'ouvrait largement, me laissant voir le buisson dru de son entrejambe. Carole n'était pas plus pudique, mais le tee-shirt, qui ...
    ... était remonté, ne me permettait de voir que ses cuisses blanches qui s'enfonçaient dans l'ombre du vêtement. Je sortis de ma contemplation quand Hélène m'interpella. « Petit-puceau, passe moi ton écuelle » Lorsqu'elle me rendit la gamelle, celle-ci contenait des bouts de gras et des morceaux de charcuterie déjà mâchés. Je mangeais les bouts de gras sans beaucoup d'appétit, mais sans arrière pensée. Il en fut différemment des morceaux mâchés, imprégnés de salive, qui me donnèrent des frissons dans le dos lorsque je les portais à ma bouche. Ce n'était pas de la répulsion ni du dégoût, juste l'extrême humiliation de devoir manger ainsi des restes mâchés par les deux femmes. « Bon, allez, va nous chercher la suite, et amène nous une autre bouteille, celle-là est presque vide » Je m'extrayais avec difficulté de sous la table pour leur apporter le plat principal : du rôti de veau aux pommes de terre avec une autre bouteille de Chablis. Je trouvais qu'elles buvaient plus que d'habitude mais me gardais bien de faire la moindre réflexion. Après les avoir servis, je repassai docilement sous la table, attendant leurs restes. Cette fois, Carole avait carrément écarté les jambes et je vis enfin ce sexe qui m'avait nargué jusque-là. Elle avait une toison brune moins fournie que celle d'Hélène. En fait, les lèvres de sa chatte étaient juste entourées d'un fin duvet, les poils drus se cantonnant sur le mont de vénus. Ses petites lèvres dépassaient des grandes, donnant à l'ensemble un aspect un ...
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