1. Ce n'était qu'une simple soirée (20)


    Datte: 16/04/2020, Catégories: Hétéro

    Vanessa traverse le couloir principal et file vers le bureau de mon boss. Je la suis. Le bureau est fermé. Elle rit. — Dommage… Ressources Humaines, fermées. Comptabilité, fermée. Dernière porte, celle du secrétariat. Vanessa s’amuse : — J’ai au moins la tenue pour y entrer ! La porte résiste, mais de manière bizarre, il semble y avoir du jeu. Vanessa relâche la poignée puis la réactive. La porte s’ouvre. Nous entrons. Vanessa se promène dans le bureau en faisant claquer ses talons. Elle regarde chacun des trois bureaux avant de revenir vers moi. Elle me suce puis m’entraine vers le bureau du centre de la pièce. Comme dans le bureau de José, je la pénètre alors qu’elle s’est assise sur le bureau : — Qui occupe ce bureau ? — Madeleine. — Excitante ? — Non. Bientôt à la retraite. Une vieille fille dépassée. Chiante. Vanessa me repousse. — Alors changeons de bureau. Elle s’assied dans le fauteuil de Sylvie. — Qui travaille là ? — Sylvie. 48 ans, mariée, trois enfants, un petit-fils. Pas un canon, mais une femme qui a beaucoup de charme. Du chien, comme on dit. — Parle-moi d’elle alors. Et elle commence à me sucer. — Sylvie est l’assistante du Directeur. Des cheveux noirs et courts, une bouche large et excitante, des yeux expressifs. Une belle paire de seins et une cul bien large souvent moulé dans des pantalons de tailleurs, sa tenue la plus fréquente. Rarement en jupe, à mon grand regret. Vanessa fait une pause dans la fellation. — Elle t’excite ? — J’ai envie de la baiser ...
    ... fort, de la défoncer sans ménagement. De baiser sa bouche, son cul puis à nouveau sa bouche. J’aime l’imaginer avec une double vie : rangée ici et très libre au dehors, du genre à le faire à plusieurs, à fréquenter les clubs échangiste, à pratiquer le sado-masochisme… Vanessa se lève et se penche sur le bureau. Je viens derrière et glisse en elle. — Ferme les yeux, imagine que tu baises Sylvie. — Tu es sûre ? — Oui. L’odeur devient mon principal repère quand je ferme les yeux. Je n’ai alors aucun mal à imaginer que ce sont les hanches de Sylvie que je tiens. J’accélère rapidement. Fortement. Je gifle le cul une fois, puis une autre. Puis je m’agrippe aux hanches et pilonne. Les pieds de Sylvie-Vanessa ne touchent plus le sol. Vanessa gémit, halète, crie. Je sens que je vais jouir. Je me retire et attrape Sylvie-Vanessa par les cheveux. Je la force à s’agenouiller, prends sa tête entre mes mains et baise sa bouche. Elle manque de s’étrangler à plusieurs reprises. Je ne sais plus qui je baise, je ne sais plus si je baise vraiment ou si je suis en train de rêver. Je relève ma partenaire et l’allonge sur le bureau. Sur le dos. Assis dans le fauteuil, je dévore alternativement la vulve et l’anus de la belle. Mes doigts glissent dans les orifices : — Ouvre bien ton cul, salope, tu n’auras pas de lubrifiant ! Je pénètre son vagin quelques instants puis m’insère lentement dans son cul. — Doucement, s’il te plaît, doucement ! Je ne vais pas loin, mais je l’encule à sec. Elle gémit ...
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