Tendresse d'un soir
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
fépilée,
volupté,
Oral
Déjà dix-huit heures, il est bien temps de rentrer ! En quelques minutes me voilà dans la rue, mon appartement est à dix minutes à peine. Je vis dans cette petite ville de province depuis presque un an maintenant. Célibataire de trente-trois ans, bien que de petite taille (1m68 pour 66kg) j’aime ma silhouette, ma chevelure brune et mes yeux bleus qui rehaussent un visage souriant de nature. J’aime me rendre à pied au travail, cela me permet de laisser libre cours à mes idées, de flâner devant les boutiques de la zone piétonne. Ce soir, une pluie légère rend l’exercice moins agréable. Il y a peu de monde dans la rue, aussi c’est sans peine que je distingue une silhouette connue : Nadine. Elle travaille dans la même entreprise, mais comme elle n’est pas toujours très disponible au travail, nous ne nous connaissons pour ainsi dire que de vue. Lorsqu’elle m’aperçoit, elle me gratifie d’un de ses magnifiques sourires dont je raffole et auquel je réponds avec bonheur. Nadine flâne dans la rue après quelques courses. Sur elle, la météo a moins d’impact, car elle a la chance d’être généreusement dotée d’un parapluie, chose qui ferait indiscutablement mon petit bonheur. Je me glisse auprès d’elle et suis accueilli par un sourire, c’est vrai que la situation est amusante. Comme nous avons l’envie commune de discuter, je l’invite dans un salon de thé qui nous tend les bras. Le salon est assez vaste, seules deux tables sont occupées par des personnes bien plus âgées. Je la laisse ...
... choisir, elle me guide vers une place au fond de la salle, d’où elle pourra avoir une vue imprenable. Pour elle, ce sera un doux cappuccino et pour moi un tendre chocolat chaud. La discussion devient très vite complice, accompagnée de sourires et de regards échangés. J’apprends que Nadine est de dix ans mon aînée. Cette belle femme, aux cheveux châtain clair et aux yeux bleus, a un fils de 18 ans déjà. Son jean et son chemisier lui vont à ravir, son visage ne semble pas avoir pris note des années et si j’évite de me perdre dans ses yeux, c’est pour ne pas perdre une miette de ses courbes toutes en douces rondeurs… La serveuse nous rappelle sur terre : il est tard le salon va fermer, autour de nous les tables sont vides. Nous voilà à nouveau dans la rue, la nuit ne rend pas la pluie plus agréable et le parapluie de Nadine nous accueille avec bonheur. Je suis heureux d’avoir partagé ce petit moment en sa compagnie. Elle me propose alors de venir chez elle, c’est à deux pas et ce sera plus agréable que sous son parapluie. J’acquiesce, bien que je trouve son petit parapluie des plus agréables, ce qui la fait sourire. Nous allons à son appartement à pied, elle occupe l’étage d’une maison de maître. Cette demeure est ravissante et c’est avec joie que je la suis. Une vieille porte impose le respect, un coup de clé bref et nous entrons dans la cage d’escalier. Déjà tout est plus doux ; dehors la pluie se fait encore entendre, mais à travers la noble porte se distille la douce lumière de la ...