L'IRLANDAISE
Datte: 17/04/2020,
Catégories:
Anal
Masturbation
Inceste / Tabou
... sesmeilleures copines, irlandaises comme elle, qui partaient faire un travail saisonnierdans l'extrême sud de la France… Elles avaient donc arrosé cela copieusement. Elle medit avec toutes les difficultés de prononciation que l'on devine, qu'elle en était àson 9ème, ou peut-être 10ème, whisky – bière, elle ne savait plus au juste. Elleajouta en me montrant le type endormi au coin du bar une fesse sur le tabouret et latête sur son bras sur le comptoir, qu'elle en avait déjà épuisé un, mais qu'à sonavis, il avait de l'avance quand elle était arrivée…Elle voulu s'asseoir sur le tabouret, je dû l'aider car elle n'arrivait pas à sesoulever seule assez haut pour monter ses fesses sur le siège. Au moment où elles'installait sur son perchoir et alors que je la retenais pour l'empêcher de chavireren arrière, elle releva sa robe et son jupon trop haut et elle me donna à voir de trèsjolies jambes, fines, bronzées et des cuisses très féminines… Cette perspective justeentrevue me fit bander de plus belle. Elle avala d'un trait la moitié du whisky etd'un trait suivant, en trois 3 gorgées, la moitié du demi de bière. Elle avait unesacrée descente !!Elle me dit alors que j'étais un gentleman de lui offrir un coup à boire que j'étaisplutôt mignon et qu'elle aimait bien les français. C'était, à l’en croire de bonsbaiseurs au lit… Et par association d'idées sans doute, elle enchaîna en me disantqu'elle finirait bien la nuit avec moi, car j'étais un gentil garçon et que je luiplaisais bien. ...
... De plus elle ne savait plus trop où aller maintenant, incapable deretrouver son chemin... Pour me décider peut-être, tout en me demandant si elle meplaisait à moi, elle écarta les jambes et me montra ses cuisses et même jusqu'à sonpetit slip rose…Je bandais comme un fou ! Puis brusquement elle a rabattu sa robeentre cuisses, cachant à ma vue ses délicieux appâts…Prenant son geste pour un recul de sa proposition, je lui dis que je pouvais luiappeler un taxi et même de donner son adresse au chauffeur pour être plus sûr… Elle semit à rire et me dit que ce n’était pas cela qu’elle voulait. Elle insista en sepenchant vers moi au point de tomber si je ne l’avais pas retenue, que c’était avecmoi qu’elle voulait dormir.Je lui dis qu'il n'y a rien de plus facile : mon hôtel est à cinquante mètres, dans larue Jolivet juste en face le Square G. Baty. Sans avoir évidemment compris tout ceque je lui ai dit, elle acquiesce et vide son whisky "cul sec" et avale le reste de sabière en longues lampées. Le liquide déborde de la chope et coule en longs filets surses joues, roule sur son cou et disparaissent dans le corsage… Puis elle saute dutabouret en prenant appui sur mon bras… Elle titube… Je la prends fermement par lebras et la soutiens jusqu'à l'hôtel heureusement tout près.Heureusement encore, il y a un ascenseur. Sans doute sous l'effet du mouvementascensionnel, elle est prise d'un violent hoquet et je crains un moment qu'elle nevomisse dans l'ascenseur. Fort heureusement les choses se ...