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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. Ch.9
Datte: 18/04/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou
... au fond de ses entrailles.Elle pousse un long cri de plaisir, tout son corps se tend dans une sorte de convulsion et elle s’écroule inerte entre nos bras qui la maintiennent.Laurine c’est évanouie !Dédé se dégage de sa chatte et je lui tapote ses joues pour voir sa réaction mais elle ne bouge pas. Je commence à m’affoler un peu quand enfin son corps tremble et qu’elle clignote des yeux.Je serre ma petite-fille dans mes bras et je fais signe à mes voisins de partir.Je câline ma Laurine en lui faisant des bisous dans le cou en attendant qu’elle émerge complétement. Quand je vois dans ses beaux yeux bleus cette étincelle de vie qui les rend si lumineux, je lui demande.- Ça va ma puce ? Tu te sens mieux ?- Oui, papy. Mais j’ai cru mourir de plaisir ! Mon corps ne m’appartenait plus et ma tête a éclaté !- Tu m’as quand même fait peur ma chérie. Je ne suis pas prêt de recommencer.J’admire son jeune corps nu dans la lumière du soleil et malgré les traces de sperme et de sa cyprine mélangé qu’elle a sur le ventre, ses cuisses, ses fesses et sur sa figure, elle ne porte aucune trace de la v******e de nos accouplements et elle est terriblement belle et désirable. Pris de remords je murmure.- Mon petit-cœur… tu as aimé te faire prendre comme ça…tu ne regrettes rien…- Non papy ! J’en avais rêvé, mais jamais fait ! Maintenant je l'ai fait ! C’est assez intense. Je ne pense pas que j'aurais arrêté de moi-même et à un moment c’était mon corps qui voulait, pas ma tête. Quand je jouissais ...
... constamment je ne savais plus ce que je faisais. Mon corps ne m’appartenais plus…il était à vous, pour votre plaisir. Et toi papy t’as pris ton pied ?- Oh oui ! Non de dieu ! C’est bien la première fois que je jouis autant ! Moi aussi je ne savais plus ce que je faisais. C’est ma bite qui avait pris les commandes.Elle tourne sa tête et ajoute.- Les voisins sont partis ?- Oui, chérie, je les ai renvoyés pour que tu te reposes. Ils auraient été capables de continuer ces salauds.- Et ils ont aimé eux aussi...- Sûr ! Dédé a dit que tu as un corps fait pour la baise, brûlant comme l’enfer et que tu es la plus grande et plus belle salope qu’il a baisé !- Je prends ça comme un compliment. Alors il faudra recommencer.- Laurine ! Il a raison tu es une sacrée Salope de petite-fille !- Mais pas tout de suite, papy ! Je suis exténuée et sans force.Je la prends dans mes bras et je vais la coucher sur son lit.- Repose-toi, tu prendras une douche plus tard.Elle s’endort aussi tôt et je reste un instant à la contempler.Avec tous les coups de bites qu’elle a pris, sa chatte est toute gonflée et ses lèvres encore écartées sont rouges tout comme ses fesses. Son trou du cul s’est refermé mais il fuit un peu et laisse couler un filet de liquide blanchâtre. Son visage et sa bouche sont aussi marqués par les abus qu’elle a subit et un mélange de jus, sèche à la commissure de ses lèvres. Elle est toujours aussi belle mais si je n’oublie que c’est ma petite fille chérie, elle ressemble quand même à une ...