1. Deutsche Gefahr


    Datte: 18/04/2020, Catégories: fh, hh, hagé, couple, couplus, extracon, extraoffre, cocus, Collègues / Travail hotel, fête, telnet, contrainte, vidéox, facial, Oral pénétratio, hsodo, québec,

    ... sur l’épaisse moquette. L’Allemand ne broncha pas d’un iota. — Vous n’avez qu’à l’ouvrir si vous voulez savoir ce qui suivra. _______________ Le souper se déroulait à merveille, et Thomas appréciait réellement la compagnie de son confrère anglais, à côté de lui à la table. De vingt ans son aîné, ils développèrent rapidement une complicité qui impressionna les membres de leurs équipes. Partageant plusieurs points en commun, dont les plus importants étaient en fait le service militaire qu’ils avaient chacun fait dans la Marine et la grande passion pour l’Histoire, une amitié s’était très vite dessinée. Pendant qu’un orchestre de chambre jouait et qu’on servait les plus grands vins, il avait échangé des opinions avec l’Anglais. — Bill, tu sais pourquoi je suis venu ici. Et le type de mandat que j’ai.— Oui, bien sûr. Mais cela semble impossible.— Rien n’est impossible ; les finances de nos deux pays en dépendent. À terme, nous serons tous les deux perdants.— Oui, je suis d’accord. Mais attendons de voir comment le tout évoluera.— Je ne peux attendre.— Cher ami, je ne suis pas sans savoir qu’une élection générale vous attend sous peu. Mais ne nous précipitons pas pour une telle considération.— Je ne suis pas motivé par les élections. Je le suis davantage par le fait de ne pas voir nos pays ruinés.— Il y a peut-être une solution ; discutons-en plus tard. Sa curiosité fut piquée, mais le souper se poursuivit dans une ambiance des plus cordiales. Audrey, à ses côtés, semblait d’une ...
    ... humeur radieuse, le vin n’y étant pas étranger. Lorsque les convives passèrent dans un autre grand salon pour le reste de la soirée, Bill le prit par le bras et l’amena sur la grande terrasse. Il prit les cigares qu’un de ses assistants lui tendait et en remit un à Thomas. Tirant de grandes bouffées, ils marchèrent dans la nuit naissante, verre de scotch bien en main. Au loin, le son du bal devenait de plus en plus diffus. Le téléphone cellulaire de Bill émit un son, et ce dernier le consulta avant de le remettre dans sa veste. — Vous savez qu’Hans Werber est en position pour devenir le prochain Chancelier ?— C’est ce que mon équipe m’a laissé entendre.— Vous êtes donc bien entouré. Connaissez-vous la ministre française?— Oui. Elle semble vouloir devenir présidente.— Effectivement. Et maintenant, ce petit Japonais plus puritain que le pape, vous le connaissez ?— Beaucoup moins.— C’est normal. Il se contente des avantages de sa fonction, n’ayant pas de velléités apparentes sur de plus hautes fonctions.— Pourquoi ces questions ?— Pour deux raisons. La première, c’est que je n’ai jamais fait confiance à votre prédécesseur, et vous, je vous fais confiance. La deuxième, c’est que pour obtenir ce que vous désirez, vous devrez faire quelque chose que je n’ai jamais voulu faire.— C’est-à-dire ?— Acculer trois personnes au pied du mur.— Et de quelle manière ?— Venez avec moi. Il l’entraîna derrière un petit muret à un bout de la terrasse. Là, il se retrouva face à un homme en smoking ...
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