On peut toujours faire mieux
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
vacances,
pied,
entreseins,
Oral
fgode,
préservati,
jouet,
méthode,
extraconj,
... me laisse pas. Que fais-tu ? Julie se sent abandonnée. Je réponds. — Je me déshabille et Anne aussi.— Anne, pourquoi Anne ? C’est elle qui rétorque. — Eh ! Le spectacle m’excite aussi.— Mais tu es dans la chambre ? Tu regardes ? Mais je suis…— Oui, totalement nue, sauf ta foufoune poilue. Tu es ravissante. Ne t’occupe pas de moi. Profite. Puis s’adressant à moi. — Allez, occupe-toi de ma copine. Mais c’est elle qui replonge et reprend ses caresses. Pendant ce temps je sors le « super rabbit » de ma femme et le donne à Anne qui ne semble pas du tout en terrain inconnu. Manifestement, son petit canard vibrant doit avoir des compagnons dans sa table de nuit. En tout cas elle trouve les touches de réglages et on entend bientôt le bruit des vibrations. Le premier contact surprend son amie, mais elle accueille rapidement le long bâton rose dans son vagin. Le bruit des perles qui tournent disparaît, avalé par la chair… Ne subsiste que la faible vibration de la double languette qui vient encadrer le clito. Anne joue avec l’engin, le faisant aller et venir comme une vraie queue. À chaque fois qu’il est au plus profond, elle le bascule en avant afin que la langue vibrante excite le clito qu’elle dégage avec ses doigts. Julie s’occupe de ses seins délaissés. Elle les maltraite, tirant avec violence sur les pointes. Je me glisse derrière Anne qui se redresse pour se placer en levrette. Je guide mon sexe vers sa chatte. Le gland glisse, écarte les petites lèvres, pénètre sans ...
... résistance. Au contraire la place est préparée pour être conquise. Elle mouille de notre petit jeu, de faire jouir sa copine, de notre connivence. Voilà, mes couilles gonflées tapent au rythme de mes va-et-vient. Je m’efforce de la baiser doucement pour ne pas la déséquilibrer afin qu’elle continue de donner du plaisir à son amie. Chacun profite de cet instant. Julie peut-elle imaginer que je baise sa copine ? C’est bon. Oui, très bon. De voir notre figure, de sentir ma verge dans ce con, de voir lerabbit entrer et sortir, de plus en plus vite, de plus en plus fort, d’entendre Julie en demander encore, et même Anne qui se retient pour ne pas parler afin de ne pas rompre le charme. Je veux conclure. Je me penche vers l’oreille d’Anne. — Allonge-toi sur Julie. Bouche à bouche, sexe contre sexe. Elle veut retirer lerabbit. — Non, laisse-le. Elle se lève, enjambe son amie et doucement s’allonge sur elle pendant que je maintiens le gode en place, bien calé dans le vagin. Julie est surprise. Elle sent bien que c’est un corps de femme qui la recouvre. Elle tire sur ses bras oubliant qu’ils sont immobilisés. Elle s’écrie. — Mais ! Son amie ne lui laisse pas le temps de continuer. Sa bouche forme un bâillon, la langue une pointe qui force le passage de ses lèvres pour aller batailler avec sa propre langue. C’est à cet instant que le doute doit s’installer. Son palais et son nez détectent des odeurs surprenantes, mélange de salive, de jus intime et ce petit goût de… de… mais oui, de poire. Les ...