Le jouet de Maîtresse Annushka (1)
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
CHAPITRE I : Du virtuel à la réalité. A la sortie de l’université, je me dirigeais vers la station de tramway la plus proche, comme je le faisais chaque jour. J’étais en compagnie d’un ami, la sacoche contenant mon ordinateur portable à la main. Je ne pensais qu’à une chose depuis ce matin : la rencontre avec Nushka, une fille qui, comme moi, était âgée de vingt-deux ans. Je savais peu de choses à son sujet, mais le mystère autour de cette demoiselle me plaisait beaucoup. Nushka pouvait être n’importe quelle fille que je croisais sur le campus ou en ville, ce qui pouvait être assez perturbant. Il est possible qu’elle m’ait déjà vu avec mon blouson en cuir et mon foulard bleu, gris et blanc autour du cou sans que j’ai pu la remarquer et l’identifier. J’étais bien content d’avoir utilisé un faux prénom et d’avoir menti quant à mes études, au cas où elle faisait partie de mon entourage. Mes précautions étaient peut-être inutiles, mais on n’était jamais trop prudent. Un tramway bondé venant du Campus 2 était déjà passé. Tout comme mon ami, je n’avais pas pris la peine de monter à bord. Je préférais attendre le prochain, qui venait d’Hérouville Saint-Clair, afin de ne pas être écrasé par la masse d’individus qui rentrait du travail ou de l’école. Je regardais l’heure : il n’était que 16h10 et mon rendez-vous était à 16h30. Le tramway arrivait dans deux minutes, ce qui me permettrait d’arriver au centre commercial avec un petit peu d’avance. Avec William, nous échangions quelques ...
... mots pendant que nous attendions le tram, et lorsque celui-ci arriva, nous nous engouffrâmes à l’intérieur en poursuivant notre discussion à propos d’un professeur qui accusait tous les élèves de plagiat alors qu’il n’en connaissait vraisemblablement pas la définition exacte. Nous parlions également de football et des matchs qui avaient eu lieu le week-end précédent, si bien que le trajet jusqu’à l’arrêt Quai de juillet m’avait paru moins long que d’habitude même si nous n’étions qu’à huit minutes de la fac. Je saluais mon ami et descendis du tramway pour me rendre au centre commercial qui n’était qu’à quelques petites minutes d’ici. Le stress commençait à m’envahir. Je sentais une pression s’exercer sur moi au fur et à mesure que j’avançais, mais je parvins à me calmer en me disant qu’elle ne viendrait peut-être pas, comme une autre femme que j’aurais dû rencontrer il y a maintenant quelques mois. La veille, Nushka m’avait demandé de l’attendre près de la boutique Orange, ce que je fis. Il n’y avait pas grand monde autour de moi : assis dans les fauteuils situés à quelques mètres de la boutique devant laquelle j’étais posté, il y avait des adolescents qui semblaient attendre leurs petites-amies. Il y avait également un couple qui se dirigeait vers la sortie du centre commercial etdeux femmes qui sortaient de Monoprix avec leurs courses. Je ne vis aucunejeune femme, mais il n’était que 16h26. Je sortais mon téléphone portable de la poche intérieure de ma veste afin de donner ...