1. Une généreuse maman (2)


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... épaules doucement, et puis elle a laissé glisser le peignoir dans son dos, jusqu’à la taille encore ceinte. Découvrir la poitrine dénudée de maman m’a particulièrement troublé, et pas seulement parce qu’il s’agissait de ma mère, mais surtout parce que le décalage qu’il y avait entre ses gros seins blancs et le reste de sa peau bronzée, dans la pénombre de sa chambre, était d’une impudeur totale. Le spectacle revêtait un caractère sacré ; j’avais la gorge sèche, j’étais incapable de déglutir. Torse nu, maman a penché la tête sur le côté et a posé ses poings sur ses hanches. — C’est ça que tu voulais n’est-ce pas, tu es content j’espère ? Elle a vu que j’étais vraiment troublé, alors elle a eu une moue désabusée. — Hé bien dis donc, ce ne sont que des seins, tu sais… tu les as tétés quand tu étais bébé… Toutes les femmes sont pareilles, nous sommes toutes identiques ! Il n’y a aucune raison de te mettre dans un tel état ! — Oh non, maman, tu n’es pas comme toutes les autres… tu es parfaite ! Tout en ...
    ... continuant à la dévorer des yeux, je réfléchissais de plus en plus vite. Elle me disait qu’elle était ma mère, et en même temps elle m’allumait, exhibait ses gros nichons sous mon nez. Qu’est-ce que j’étais supposé faire de toutes ces informations contradictoires ? Et puis elle a détaché sa ceinture et son peignoir a glissé à ses pieds ; elle était toute nue. Elle est restée devant moi dans le plus simple appareil, et je ne savais plus quoi regarder. Tout me plaisait. — Tourne-toi maman ! Elle m’a obéi, a pivoté sur ses talons pour me présenter son cul. Lui aussi était parfait. Mais alors que j’étais sur le point de lui sauter dessus, nous avons entendu papa qui rentrait et qui l’appelait d’en bas, brisant net la magie de l’instant. Maman a remis son peignoir en un rien de temps, fait un nœud avec la ceinture, enfilé sa paire de mule et dévalé les escaliers. Je suis resté dans sa chambre un moment, sans pouvoir bouger ni respirer, et je l’ai entendue qui parlait avec mon père comme si de rien n’était… 
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