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Soumise par mon fantasme (1)
Datte: 21/04/2020, Catégories: Transexuels
... powpssel La levrette commençant à nous fatiguer , il me retourna à nouveau pour me placer sur le dos. Il met mes jambes sur ses épaules, je suis son pantin tellement l’excitation me coupe les muscles : « -prends-moi comme une salope...Je suis tapetite pute... » Lui répétai-je en gémissant « - à peine 18 ans, mais t’es déjà une avaleuse de bite professionnelle » sur ces mots il remit en place sa bite d’un coup de rein et il reprit son rythme devenu frénétique pour mon plus grand bonheur. Je pouvais maintenant sentir sa bite frotter contre ma prostate et je sentis l’orgasme monter en moi. Plus il montait et plus je soulevais mon bassin si bien qu’il m’agrippa les fesses pour me soulever le bassin. « -Plus vite, je vais jouir...défonce-moi ! » lui criai-je tout en me masturbant furieusement. Sur mes mots il me martelait, mon basin étant à moitié en l’air mon corps est balancé d’avant en arrière. Puis vint l’orgasme, foudroyant accompagné des torrents de mon foutre qui se déversa sur mon torse et partout sur mon visage. J’étais allongé là , recouvert de mon propre sperme, quasiment amorphe toujours remplit par la bite de mon partenaire qui me donnait toujours des coups de reins, mais de manières plus douces. J’essayais de goûter mon précieux liquide autour de ma bouche, j’étais trop « ...
... faible » pour utilise mes doigts. Il le remarqua, se leva en me soulevant aussi. Je me retrouvai à genoux de nouveau face à ce merveilleux morceau de viande. Il mit sa main dans mes cheveux et me dit : « -t’en fais pas, la deuxième fournée arrive. Suce-moi seau à sperme » il enfourna de suite sa bite dans ma gorge. Et je le suçai encore plein d’entrain à l’idée de me voir cette bite bien épaisse dans ma bouche avec mon foutre étalé sur la gueule. Cette vision extérieure de moi m’excitait au plus haut point et je m’acharnai sur la queue de mon grand guerrier jusqu’à que celui-ci vienne envoyer tout son foutre sur ma petite gueule déjà souillée par ma propresemence, dans un grand râle de satisfaction. Il semble complètement vidé, et il y avait de quoi . J’étais encore à genoux en train de goûter le mélange de nos semences qui dégoulinait de mon visage jusque sur mes cuisses encore tremblantes. Je n’avais qu’envie d’une chose, réitérer l’expérience. Il était hors de question que j’en reste là avec cet homme que j’ai tant fantasmé. Je veux devenir sa salope attitrée, accourir chez lui à sa demande à n’importe quelle heure, pour qu’il puisse déverser sa virilité dans mon petit cul de soumise. Alors qu’il se rhabille, il me lança : "on se revoit ?" j’acquiesçai d’un simple geste de la tête.