Soirée zarbi-japon
Datte: 28/09/2017,
Catégories:
ff,
2couples,
asie,
cinéma,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
hsodo,
lavement,
humour,
Ricardo me dit ce matin-là : — Tu sais, Samuel, il faut absolument que tu viennes ce soir. Il y a une soirée zarbi-japon. C’est privé, mais tu pourras rentrer. Je t’expliquerai. En plus, ce mois-ci, il s’agit de combats. Sur un ring. Je ne veux pas t’en dire plus. Tout ce que je te demande, c’est de fermer ta gueule. Ça doit rester secret. Tu comprends ? Je comprenais. Ricardo avait toujours des affaires à la limite de la légalité, des combines un peu suspectes, des relations un rien douteuses et un train de vie dont on pouvait se demander la réalité. Il était là dans mon lit, fumant un cigarillo et ne jetant qu’un œil distrait à la petite suédoise qui dormait entre nous deux. Il pouvait parler sans qu’elle ne s’éveille à la francophonie. Nous avions communiqué toute la soirée en anglais et toute la nuit avec nos doigts. Quand même, il la réveilla pour lui faire constater son érection matinale. Elle se tourna de l’autre côté pour tomber sur la mienne. D’une main lasse, elle me caressa sans plus de conviction qu’un boulanger son petit mitron. Je préférai me lever pour un petit déjeuner consistant. Je préparai le café pour la petite tribu, des toasts, du jus d’orange et même quelques œufs avec du bacon. Je branchai un CD de musiques mexicaines pour me donner de l’entrain. Pour jouer à l’hôte internationalbed and breakfast, j’apportai dans la chambre et sur un plateau mes douceurs du matin blême. Je poussai du pied la porte et devant moi, Erika montait aux rideaux, l’érection ...
... matinale de Ricardo dans le fion. Les rideaux cédèrent devant cette sodomie latino-scandinave et j’aurai encore des problèmes avec la voisine d’en face qui ne peut plus calmer son mari depuis qu’il sait ce qui se passe chez moi. Une grande fille nue à la fenêtre et tout un immeuble tremblait sur ses bases. Heureusement, chacun était pressé. Ricardo de conclure, Erika de prendre une douche et moi d’aller chez mon disquaire. Un petit mot sur la table me fixait néanmoins le rendez-vous de la soirée. Il fallait donc pénétrer dans une impasse, rentrer dans une cour intérieure et attendre. Ricardo me remit un sésame, une sorte de disque en carton comme on en faisait au temps de la zone bleue. Et nous avons attendu. En silence. Une vingtaine de personnes qui attendent en silence, d’habitude cela fait du bruit sur tous les paliers. Mais apparemment, le coin était plus ou moins désaffecté. L’attente se fit nerveuse quand apparurent quelques képis, mais seul un Marocain se fit contrôler. Par routine. Les flics vérifièrent son identité avec la mollesse d’un douanier slovaque dépressif. Ils avaient à peine tourné les talons que l’entrée de la cave s’illumina. Oh, très discrètement. Juste une lanterne japonaise. On entra, et je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre. Au bas de quelques marches, nous nous sommes trouvés en face d’un ring réglementaire, pour autant que je connaisse les règlements de la boxe. En tout cas, c’était classique. Un petit tabouret de chaque côté et un type en ...