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De retour à la maison
Datte: 22/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme
C’est vendredi soir, je viens de rentrer à la maison. J’ai passé une bonne semaine au travail mais je suis terriblement en manque de toi. C’est très difficile la semaine de ne pas avoir sa petite femme soumise à disposition qu’on peut câliner au lever, embrasser au retour du travail mais aussi doigter ou lécher sur le canapé à l'envie, et sur qui, après le sexe, je peux pisser sur les seins, le ventre et le visage avec tant d’affection et de tendresse que c’est notre complicité qui s’en trouve flattée. Il se trouve que cette semaine tu ne m’as écris aucun récit sexuel pour assouvir mes fantasmes et me montrer comme tu es une femme parfaite qui continue d’être soumise et dominée en pensée à son homme tant aimée, même en son absence. Nous avons posé nos manteaux et dans la cuisine je t’ai pris dans mes bras pour t’embrasser très langoureusement tellement je t’aime et que tu m’as manqué. Je caresse tes fesses avec envie, ton corps accueille mes caresses dans des frissons qui te parcourt le corps et rende absolument joyeuse. Puis je me détache de toi et je te demande de nous apporter un apéritif pour nous rafraichir avant que je ne mette mon sexe en bouche pour te la baiser sans le moindre complexe. Et je te dis d’ailleurs que cette fois ci je te baiserai la bouche comme je te baise en levrette, je tiendrais ton visage comme je tiens tes hanches et tu feras en sorte que ta bouche me soit aussi agréable que ton vagin ou ton cul quand j’y enfonce mon sexe. Tu m’as répondu un « ...
... oui chérie » complètement ravi, ce qui m’a beaucoup plus parce que dès ce moment là je pouvais enfin me sentir chez moi, totalement maitre incontesté de notre maison et de ma femme. Pendant que tu préparais l’apéro il me venait à l’esprit l’envie de te fouetter quelque peu le corps pour pouvoir te punir d’avoir manqué de m’envoyer des scénarii nouveaux de moi qui te soumet, te baise et te fait te sentir si libre de ne plus avoir à être que l’être le plus dévoué qui puisse exister au plaisir de ton homme. Mais comme j’avais encore envie d’être tendre avec toi et profiter de nos douceurs pour te répéter avec les yeux les plus épris qui soient comme je suis heureux d’être rentré, comme tu m’as manqué, comme je suis fou de toi et comme je t’aime plus que tout au monde, je suis resté assis sur mon fauteuil et j’ai reluqué ton cul dans la robe longue que tu avais mise pour venir me chercher. Nous avons bu l’apéro, tu étais dans mes bras et j’ai passé tout ce temps à te flatter et te dire comme tu étais la femme de ma vie et de mes rêves. Puis je me suis levé, j’ai ouvert mon pantalon et sorti mon sexe en cours d’érection. Il était assez bandé pour être gros et assez souple pour que je puisse le poser tout entier sur ton visage, mes couilles étalées sur sur ta bouche et ma verge frottant ton nez tandis que mon gland caressait ton front. J’ai reculé d’un bas et j’ai enfoncé ma bite dans ta bouche pour que tu commences à la sucer. tu t’y es mis avec dévotion, tes succions étaient ...