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Comment Francesca et Sarah se réconcilièrent... presque.
Datte: 22/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... derrière Sarah, et me collai à son dos, lui embrassant la nuque avec passion. Surprises, les deux belles se lâchèrent, et je pus enlacer Sarah à ma guise, la collant contre moi. Je l'enserrai alors, et me mis à masser sa poitrine avec vigueur tout en continuant à lui dévorer la nuque. Sarah se mit à gémir, et je redoublai l'intensité de mon massage. Puis, aussi soudainement que j'avais commencé, je m'arrêtai, et la jetai sur le lit. Je lui dis avec négligence : « Je m'occuperai de toi après, pour l'instant à la suivante ! » J'avais dit ces derniers mots en regardant Francesca, et je vis briller dans ses yeux une petite lueur d'excitation. Visiblement, elle aimait me voir prendre les choses en mains. Je la tirai par la ceinture de son jean, et la collai contre moi. Tout en la tenant par les hanches, je l'embrassai avec passion, lui faisant perdre le souffle. Après quoi, je la poussai sur le lit, pour qu'elle y rejoigne Sarah. Les deux étaient sur le lit, comme offertes à ma personne sur un plateau? J'eus cependant un bref instant d'hésitation : par laquelle devais je « attaquer » ? Sarah avait un tempérament très dominateur, et si je ne la calmais pas très vite, les choses allaient déraper? D'un autre côté, Francesca pouvait se transformer en véritable tigresse lorsqu'elle était excitée, et si je m'occupais de Sarah en la laissant toute seule, c'est ce qui risquait de se passer? Pendant quelques secondes, j'hésitais donc, car je ne savais pas sur qui me jeter. Ce bref instant ...
... d'hésitation me « coûta cher », si l'on peut dire. Francesca m'attrapa soudainement par le pantalon, et me fit tomber sur le lit, m'étalant de tout mon long. Pendant que Sarah venait derrière moi, et me tenait les mains, Francesca s'installait sur moi, un sourire coquin aux lèvres. La belle italienne recommença à m'embrasser, mais cette fois ci, je ne pouvais la toucher : Sarah me tenait fermement par les poignets, et sa comparse italienne en profitait pour prendre possession de mes lèvres, de mon cou, et d'un peu près tout mon visage sans que je puisse répliquer. Elle me regardait droit dans les yeux, et me souriait d'un air narquois, se réjouissant de mon impuissance. Un léger sentiment de découragement me prenait : je ne voyais pas comment reprendre le dessus. Pendant que je me décourageais, Francesca s'affairait à retirer mon pantalon, tandis que Sarah m'embrassait doucement par au-dessus. Lorsque Francesca m'eut enlevé le pantalon, je vis soudain une occasion de reprendre le dessus. Je saisis l'italienne avec mes jambes, et l'emprisonna dans mon étreinte. En même temps, je tirai Sarah par les cheveux, et l'obligeais à se dégager de ma bouche. Alors, je me dégageai et renversai Francesca m'installant à califourchon sur elle. Puis, tenant Sarah par les cheveux d'une main, par le t-shirt de l'autre main, je l'obligeai à s'allonger à côté de sa complice. Les deux se débattirent furieusement, mais Francesca était prisonnière de mon poids, et ne pouvait pas faire grand-chose. ...