1. Le club des nymphes - tome II (21)


    Datte: 23/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ne font aucunement attention à notre retour. Thomas a ses yeux de braise fixés sur moi. Il ne me lâche pas du regard tandis qu’il se déshabille. Apparaît alors son sexe qui semble déjà prêt à éclater tellement il est tendu. Enfin ! Enfin ce moment tant désiré est là. Mon cœur bat la chamade. — Fillot, déclaré-je, nous allons faire comme pour notre première fois. Je vais t’attacher et profiter de toi. Tu n’auras qu’à te laisser faire. J’enlève la ceinture de son pantalon, lui demande de passer les mains dans le dos et les lui attache. Je recule afin d’admirer mon œuvre. Le voilà prêt à l’emploi, sur le point de subir tous mes caprices. — Et voilà, tu es à moi, fillot ! déclaré-je en me léchant les babines. Oui, rien qu’à moi ! Un corps offert à mon seul plaisir. Mes doigts glissent le long de ses cuisses et remontent doucement vers ses bourses pendantes. Un petit massage sur ces dernières le fait gémir. Je dépose de délicats baisers sur ses cuisses et me dirige vers son sexe comme pour l’emboucher, mais au dernier moment ma bouche migre sur son ventre. Je m’amuse un long moment à caresser et lécher toute la zone autour de son pénis, sans jamais m’occuper de ce dernier. — Pitié marraine, s’impatiente-t-il. J’ai trop envie… Et moi donc ! Je décide d’arrêter de le faire languir et me régale de son pénis. Je l’avale tout en le foudroyant du regard. Son goût m’envahit la bouche. Sa colonne de chair palpite sous ma langue. Je me réjouis de redécouvrir ce sexe que j’adore tant ! ...
    ... J’ai tant aimé profiter de lui l’année passée… c’est merveilleux de retrouver ces sensations. À nos côtés, Louise et Aliénor, ne se préoccupant de nous, sont maintenant elles aussi nues et s’offrent du plaisir en soixante-neuf. Comme j’ai le ventre qui crie famine et que j’ai peur que Thomas décharge trop vite, je décide de mettre fin à cette dégustation savoureuse. Je m’installe à califourchon sur ses cuisses, enserre sa hampe d’une main et frotte son gland sur ma vulve bouillante. Ces petits contacts me provoquent des décharges électriques dans le bas-ventre. Thomas s’impatiente encore. J’attends une nouvelle fois qu’il se plaigne avant d’accéder à sa requête. Je me laisse donc coulisser sur ma friandise préférée. Notre fusion me fait frémir. Mes sens se déchaînent. C’est merveilleux de pouvoir profiter de cet instant après tout ce temps ! Tandis que je coulisse sur sa remarquable virilité, mes mains et mes lèvres profitent de la soumission de son corps. Je tête, palpe, caresse, lèche, embrasse et goûte chaque parcelle de sa peau. Mes doigts glissent sur le fin duvet de son torse. Une main glisse dans ses cheveux décoiffés puis descend le long de sa joue tandis que mes lèvres savourent les siennes. Ma langue s’abreuve dans son cou, récoltant les fines gouttelettes de sueur. Mes ongles laissent de longues traînées rougeâtres le long de son dos. Oh, Thomas, dès que ta sœur m’a parlé de toi, tu m’as intriguée. Je t’ai observé et j’ai vu un jeune homme sensible, gentil, charmant. ...
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