1. Soumission naturelle (4)


    Datte: 23/04/2020, Catégories: Transexuels

    Salut c’est votre folle de lycra. Voilà maintenant un an et demi que j’étais devenue la femelle de mon chef, ce dernier se prénommant Thierry. Naturellement mes cheveux commençaient à devenir assez longs pour le plus grand plaisir de mon supérieur hiérarchique, maintenant au boulot je devais avoir une queue de cheval et il exigeait que je sois toujours rasée​ de près le matin. Tous les matins nous nous retrouvions dans un coin très peu fréquenté de la société, souvent les archives; la pièce se trouvait au 2e sous-sol et surtout cette dernière était fermée à clé, clé qui était en possession entre autre de mon chef. Depuis un an je possédais un double, ce qui me permettait lors de nos rendez-vous à cet endroit de l’attendre en toute discrétion. En plus au fond de son local archives qui était très long, l’éclairage était encore plus faible et au fond personne ne s’y rendait car il n’y avait rien à y faire; du coup profitant de cette opportunité mon chef m’avait fait installer tout au fond de cette salle un lit avec un matelas confortable et des draps satinés. C’est ainsi que ici mon chef me convoquait régulièrement quand il avait besoin de s’occuper de moi, nous y avions pris nos habitudes à tel point que il y avait même une malle avec de quoi me préparer pour me faire désirable à ses yeux. Le local archives faisait facilement 5 mètres de large sur au moins 25 mètres de long, mon chef avait fait attention à retirer les néons sur le fond du local. Rien ne donnait envie d’aller ...
    ... au-delà de la partie éclairée excepté le désir de se faire prendre par son chef ou celui d’aller baiser sa chérie travestie. C’est ainsi que depuis près d’un an mon chef me donnait rendez-vous aux archives je devais m’y rendre, me faire belle et l’attendre ainsi vêtue. Je devais descendre choisir ma tenue dans la malle: robe, bas, porte-jarretelle et escarpins..; c’était le minimum. Quand Thierry arrivait je devais m’asseoir sur une chaise ou sur le lit, lui libérer son sexe et lui faire une fellation pour commencer. Au début je n’étais pas rassurée puis au fur et à mesure j’ai pris confiance, j’y ai pris goût et maintenant c’est pratiquement devenu une drogue; si je ne fais pas ma petite pipe à Thierry quotidiennement je suis malheureuse. À chaque fois pendant que je libérais son sexe pour pouvoir le prendre en bouche il me mettait un large collier de cuir, j’aimais l’odeur de son sexe que j’avais quitté la veille. En fonction du temps qui nous était accordé ou je lui faisais une fellation ou une fellation avec pénétration...; De toute façon il s’est vidé les burettes au moins une fois lors de sa descente dans le local archives. J’adorais qu’il me tienne la tête pendant que je le suçais, ainsi il me donnait le rythme même si quelquefois il allait un peu loin. J’adorais aussi quand il me pinçait les tétons pendant que je le suçais, quand il me caressait les cheveux délicatement en me traitant de tous les noms mais avec délicatesse. Il y a des fois où il me faisait mettre à ...
«1234»