1. Corps-à-corps dans le Vercors


    Datte: 24/04/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, jalousie, Oral pénétratio, humour, policier, aventure,

    ... semblait avoir des mains partout et tant d’empressement à s’en servir que je ne savais plus moi-même où promener les miennes. Chaque fois que je lui saisissais un sein, lui empaumais les fesses ou lui fourrais les doigts quelque part, elle frémissait, remuait pour me coller la bouche ou la langue là où elle le pouvait, tout en partant elle-même en exploration de mon corps. Il suffisait que je descende les lèvres sur sa poitrine et son ventre pour qu’elle réussisse à me branler avec les pieds ou entre ses genoux, quand elle ne me glissait pas ses orteils dans la raie du cul ! Ce n’était pas de la lutte, mais une espèce de jeu à la « je te touche, je te suce, je te lèche partout où je peux ». Au début, ça me parut surprenant, mais la coquine dégageait une telle sensualité, un tel entrain, que nous enchaînions les positions à un rythme endiablé. En réalité, dès qu’elle m’invitait, par le langage du corps, à l’embrasser ou à la toucher quelque part, j’étais à peine à l’ouvrage qu’elle en profitait pour me branler, me lécher ou me sucer, si bien que je devais m’esquiver rapidement pour éviter que nos échanges ne tournent court pour cause d’éjaculation précoce. Je finis par la coucher sur le dos et lui replier les jambes vers le torse pendant que ma langue lui ramonait le vestibule, ce qui permit à mon bas-ventre de récupérer un peu de son self-control. Zoé n’en remuait pas moins, mais cette fois sans tenter d’inverser la position, et elle serra vivement les cuisses contre mes ...
    ... oreilles lorsque son plaisir l’envahit. Elle ne fut pas longue à retrouver son souffle et à se dégager d’un bon coup de reins. Vautrée sur moi, elle colla sur la mienne sa bouche humide, puis descendit sur ma poitrine. Couché sur le dos, je la laissai s’occuper de moi sans chercher à me dérober. Couvertes de salive, ses lèvres entourèrent mon gland, mais elle prenait son temps, sans essayer de me faire jouir immédiatement. Je tendis les bras pour qu’elle s’allonge sur moi et je la pénétrai comme ça, elle dessus et moi dessous, pendant que nos langues se mêlaient ; puis elle se redressa et s’assit sur moi. J’aimais la sentir et la voir me chevaucher, avec ses seins d’un blanc laiteux qui remuaient en cadence et dont je finis par m’emparer, des deux mains, pour les pétrir et en pincer les mamelons rosés. Nos ébats étaient moins mouvementés qu’au début, plus posés, plus méthodiques. Une seule chose n’avait pas changé : notre silence. Je n’avais pas coutume de balancer des grivoiseries pendant le plaisir charnel et, apparemment, Zoé non plus. Elle s’abstenait de gémir, mais je n’étais pas sûr que ce fût son habitude, car elle se mordillait les lèvres ou soufflait de temps à autre. Peut-être s’imposait-elle tout bonnement de la retenue pour éviter de rameuter tout l’hôtel et d’attirer l’attention des patrons avec des frasques qu’ils n’apprécieraient sans doute pas. Pendant que la jolie blonde me chevauchait, je cogitais à toute vitesse, n’arrivant pas à décider si je pouvais lui faire ...
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