1. Corps-à-corps dans le Vercors


    Datte: 24/04/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, jalousie, Oral pénétratio, humour, policier, aventure,

    ... le moment de flancher !— Ludwig ! répéta-t-elle en se serrant contre moi pour me rouler une pelle. Elle sentait le sperme et la sueur, sa peau était humide et enfiévrée. — Fais-moi l’amour ! implora-t-elle. J’ai envie.— Merde, Ghislaine ! J’essayais de la secouer, mais elle s’accrochait à moi. « Nom de Dieu ! me dis-je. Elle est chaude comme une baraque à frites ! » Elle finit par me renverser sur le lit, au moment où je ne m’y attendais pas, et à se vautrer sur moi. Ses yeux étaient brillants, aux pupilles dilatées, et elle voulut à nouveau m’embrasser. Malgré mes vêtements, je sentais toute la chaleur de son corps, et elle s’efforçait de me transmettre son désir. Mais je la repoussai, faisant fi du début d’érection qui commençait à m’embarrasser, car elle n’était pas dans son état normal. Pourtant, c’était bien ma Ghislaine, la fille qui m’avait fait craquer et que, en dépit de mes frasques, j’avais toujours dans la peau. Elle était superbe, toute en rondeurs, sensuelle jusqu’au bout des ongles et capable de faire bander comme un cheval en rut le plus blasé des hommes. « Ils l’ont droguée », pensai-je. J’ignorais combien de temps lui serait nécessaire à sortir de son hébétude, mais j’avais l’intuition que pour cette nuit, je devrais me débrouiller seul. Je n’eus cependant plus le loisir de m’appesantir sur la question, car la porte de la chambre s’ouvrit et deux gus firent leur entrée, alors que Ghislaine était encore à essayer de se vautrer sur moi qui tentais de me ...
    ... dégager. Un des nouveaux venus poussa un juron. — Nom de Dieu ! C’est qui, celui-là ? Je me débarrassai de Ghislaine, qui roula sur le lit, juste au moment où les types se jetaient sur moi. Il y eut une mêlée, je distribuai quelques coups de pompe puis bondis vers la fenêtre, mais un des gars m’attrapa les jambes et je restai accroché sur le ventre dans l’ouverture. J’entendis d’autres mecs entrer dans la pièce, et une voix gueula : — Ne le lâchez pas ! Mais d’une nouvelle ruade, je réussis à faire lâcher prise au gus qui tenait mes pieds. Je basculai vers l’extérieur, où j’atterris sur la nuque bien que j’eusse amorti la chute à l’aide de mes bras. Je voulus me redresser, mais j’avais été suivi, et quelqu’un s’abattit sur mon dos au moment où je me mettais debout. D’autres adversaires s’en mêlèrent, et le nombre de mes assaillants eut raison de ma résistance. Je fus bien vite délesté de mon flingue et emmené dans un couloir puis dans une petite pièce dépourvue de fenêtres, où mes chevilles et mes poignets furent rapidement entravés à l’aide de cordes. J’y demeurai seul quelques minutes, dans l’obscurité, puis la porte s’écarta et deux hommes firent leur entrée. — Ça par exemple ! jeta Kamel. Comme on se retrouve ! Et sans attendre, il me balança un coup de botte dans les côtes ! Je crus que ma cage thoracique allait éclater. Des larmes baignèrent mes yeux tandis que j’ouvrais la bouche pour reprendre mon souffle, avec des bruits rauques. — Doucement, Kamel, tempéra l’autre mec. Ne ...
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