Vacances naturistes : Vive le Camping ! - Histoires de Sexe

Vacances naturistes : Vive le Camping !

... dans l’autre, confondus, unis. Seules les contractions de son vagin sur ma queue m’indiquent qu’elle est encore vivante et j’en ai la preuve quand elle joui une seconde fois sans que j’aie fait le moindre mouvement. Insatiable, elle commence alors à onduler des fesses. Comprenant le message je commence mes allers-retours, sortant presque totalement pour revenir chaque fois plus fort, plus profondément… Mes doigts s’activent frénétiquement sur le clitoris de mon amante. Katia est maintenant totalement allongée sur l’évier, cramponnée des deux mains au robinet. Elle jouit sans discontinuer, enchaînant orgasme sur orgasme en criant son amour et son plaisir et en me demandant de la baiser toujours plus fort, toujours plus vite. Répondant à sa demande, je la sabre maintenant comme un hussard. À chaque nouveau coup de reins, le claquement de mon ventre sur ses fesses vient ponctuer ses cris de plaisir et le camping-car se balance sur ses suspensions, tandis que la vaisselle tinte doucement dans les ...

... placards. Quand enfin je la rejoins, mon plaisir explose au plus profond de son sexe, je me vide, je fusionne avec elle, mon orgasme est tellement fort qu’il en est presque douloureux. Je reste ainsi très longtemps cramponné à ses hanches, sonné, KO debout… — Je crois que nous allons avoir des soucis avec les voisins, je n’ai pas été très discrète, me dit Katia, alors que, beaucoup plus tard, nous sommes enlacés sur le lit, repus, comblés. Je lui réponds alors, avec une mauvaise foi évidente : — Mais non, chérie, tu n’as pas fait tellement de bruit. De toute façon, au pire, ils sauront comme ça que tu m’aimes et que tu aimes faire l’amour. Il n’y a pas grand mal à ça. Au fait, tu me feras penser à vérifier le robinet de l’évier et à installer les béquilles du camion : si nous continuons à ce régime-là, les amortisseurs ne vont pas survivre à nos vacances…— Ce régime-là me convient bien, à moi et nous allons passer ces vacances à jouir l’un de l’autre, l’un avec l’autre… et peut-être l’un sans l’autre. A suivre