1. Une généreuse maman (11)


    Datte: 25/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... voudrais me branler entre tes nichons… Tu veux bien, dis ? J’avais pris ma voix sucrée d’enfant gâté, celle à laquelle elle ne résistait pas quand, petit garçon, je faisais un caprice énorme. — Mais enfin Victor, c’est quoi ces façons ? Tu n’es pas bien de me demander une chose pareille ? Je sentais qu’elle était choquée par cette requête inattendue, qu’elle ne savait pas comment réagir. — Allez maman, sois sympa… Entre tes gros seins… s’il te plait ! Elle a planté ses grands yeux noirs dans les miens ; elle était courroucée, elle tremblait de colère et de frustration, pourtant elle est sortie de l’eau et s’est assise sur une chaise de jardin. Elle a fait jaillir ses nichons en reculant les épaules, a bombé le torse. L’invite était on ne peut plus claire. Je me suis avancé, me suis arrêté le sexe à hauteur de sa poitrine ; elle s’est penchée en avant, ma queue raide lui a balayé les seins. Maman les a refermés autour, les a pressés avec ses mains sur les côtés, afin de l’emprisonner tout entière dans la masse moelleuse de sa chair élastique et généreuse. Je m’agitais, je poussais en gémissant, seul mon gland débordait du sillon profond de sa poitrine comprimée, et ma mère le léchait du bout de la langue, avant de le prendre entre ses lèvres. J’ai déchargé, mon foutre a fusé avec une force inouïe, je lui ai souillé le visage de plusieurs giclées. Elle en avait partout : sur le menton, le nez, et même un peu sur le front. — Bon sang Victor, tu pourrais faire attention ! Non ...
    ... mais regarde-moi ça… Je suis couverte de sperme ! C’est du propre… Tu n’as pas honte, sale petit cochon ? J’étais consterné, j’avais l’impression d’avoir dépasser les bornes, mais maman s’est levée et s’est précipitée dans la piscine - pour se débarbouiller la figure ? -, et j’ai repris des couleurs. Elle a fait la planche à nouveau, mais à l’envers cette fois, sur le ventre, la tête dans l’eau et les bras en croix. J’étais hypnotisé par son cul ; ses belles fesses blanches, magnifiées par le clair de lune, ressemblaient à deux collines de chair voluptueuse déposées à la surface de l’eau. Elle s’est retournée, a impudiquement écarté les jambes en faisant toujours la planche. — Et moi alors ? Tu m’as laissée en plan tout à l’heure, tu m’as négligée… Tu es bien le fils de ton père ! J’ai fait comme si l’allusion m’échappait et j’ai plongé. Je l’ai rejointe en barbotant, me suis installé le visage entre ses cuisses, et j’ai tout de suite accouplé ma bouche à sa vulve. J’ai exploré, en les fouillant méticuleusement de la langue, tous ses petits replis secrets, tout en l’entrainant doucement à l’entrée de la piscine. Elle s‘est agenouillée sur la dernière marche, les jambes écartées, les mains agrippées au rebord en grès, et elle a soulevé son derrière, creusé les reins. Elle était outrageusement provocante dans cette posture obscène, elle s’offrait comme une chienne en chaleur. Elle avait de l’eau à mi-cuisses mais sa croupe, surélevée, était exposée à l’air libre. Debout, derrière ...