Que faire seule en montagne lorsque l'on rencontre un homme charmant ?
Datte: 28/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... furtivement sur son entre jambe et j’y aperçois un certain volume me donnant l’impression qu’un serpent s’est lové dans son short. J’espère qu’il n’en a rien vu de mon regard. Par contre, en relevant les yeux, je découvre qu’il regardait au niveau de ma poitrine. Je me tourne un peu, faisant mine de regarder autour de moi, et je jette un regard sur mon haut, et je vois bien que de m’être arrêtée en pleine transpiration, mon t-shirt ne peut que peu masquer la forme de mes seins et surtout, de mes têtons. Grrrr… çà m’agace. Il me dit… « on y va ? ». J’acquiesce et le suis. Vu de derrière, il a de belles fesses rondes. Mais je m’efforce de regarder autre chose. Nous nous engageons sur un petit sentier qui monte moins. Nous discutons de choses et d’autres. Je vois bien que de temps à autres il se retourne, faisant mine de me parler en face, et qu’il en profite pour regarder ma poitrine, qui surement, balance un peu au fil de mes pas. Finalement, assez rapidement, nous sortons des fourrés et débouchons d’un coup, s’en s’y attendre, sur une sorte de terrasse herbeuse au-dessus d’une petite falaise. Lui : Et voilà ! Qu’en pensez-vous ? Moi : C’est superbe ! Merci de m’avoir guidée jusqu’ici. Lui : De rien. C’était avec plaisir. Et il jette un petit regard sur mes seins avec un léger sourire. Voyant cela, je sourie aussi et lui fais une grimace souriante, comme pour dire … « dite donc vous …petit malin … vous me materiez pas les seins ? » Lui, peut-être un peu gêné : Bon, je vais ...
... continuer mon tour… Bonne journée ! Moi : Merci bien ! Gare à la surchauffe ! …Et aux effets de la transpiration ! … Il part en souriant et disparait dans la forêt. Je me dis…sympa cet homme-là. Je m’assois, face au paysage, paisible, sous le soleil qui commence à être chaud. Je décide de rester là un moment. Je regarde autour de moi. Bien sûr, le coin est tellement isolé, il n’y a personne. L’homme doit déjà être loin maintenant. Je retire alors mon t-shirt blanc et le mets à sécher sur des branches. J’enlève mes chaussures et retire aussi mon pantalon, décidant de me faire un peu bronzer tant que le soleil n’est pas trop malfaisant en ce milieu de matinée. Me voici ainsi en petite culotte, sur une terrasse herbeuse, seule au milieu de la montagne. Hummm, je suis bien. Je m’allonge, ferme les yeux, et, je crois que je dors un moment, me réveillant en sursaut en entendant une voix d’homme à côté de moi. Je m’assied d’un coup, plissant les yeux sous l’effet de la lumière du soleil en face de moi. « Je ne vous ai pas demandé… cela va aller pour retrouver votre chemin ? …» Le joggeur est là, sortant des arbres, ruisselant de transpiration, surpris et les yeux écarquillés en me voyant ainsi presque entièrement nue. Je pose vite mes mains sur mes seins pour les dissimuler. Ma culotte blanche, un peu transparente, ne dissimule probablement que très peu de ma toison châtain, mais tant pis. Lui : Oh… pardon. Je ne pensais pas … Mais … vous… vous... êtes très belle. Moi : Merci… mais ...