1. Que faire seule en montagne lorsque l'on rencontre un homme charmant ?


    Datte: 28/09/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sur mon sexe et lui dis en le regardant dans les yeux… « viens ». Il passe devant moi pose son gland sur le sac plastique à l’entrée de mon vagin, me regarde quelques secondes, et … je le sens entrer toouuuut douuucement en moi. Le sac fait un peu un bruit inhabituel, mais il s’enfonce, accompagnant le pénis en moi. Lui : C’est vrai qu’il est doux. Le problème apparait quand le sexe de l’homme revient en arrière, le sac ressort mal. L’homme se retire, retire le sac plastique le retourne et le replace pour se réintroduire. Là, mon humidité a mouillée l’intérieur du sac et son pénis peut à présent glisser plus facilement dans un sens et dans l’autre. Il va et vient lentement, puissamment. Hummmmmmmmmm. C’est grandiose !! Il m’ouvre le vagin, l’écarte, le détend, l’approfondit … hummm… je crois qu’il va me … « défoncer ». De penser ce mot, je sens mon ventre couler de plaisir. En fait… je l’espère. Sa main droite me malaxe le sein gauche. C’est trop bien ! Il se retire. Je reste avec un sac plastique entre les jambes . Je sourie en moi en imaginant la vue peu sexy qu’il doit avoir. Il me fait me retourner et être à 4 pattes. Il me pénètre sans attendre. En disant : « Tiens, tu sens comme mon sexe a encore grossit ? » Moi : Oh ouiiiiiiiiiiiii vas-y… n’attend pas… bouge ! Et il se met alors à se planter si puissamment en moi, à me ramoner si fort et avec de tels coups de bassin, que mes seins s’entrechoquent à chaque coup de sa bite. J’entends et je sens les clac, clac, clac …. ! ...
    ... Je ne respire plus, je hâlette. Je sens son gland me nettoyer les parois du vagin tellement il est gonflé. Effet accentué surement par les frottements du sac plastique qui doit bouger parfois avec son sexe. C’est comme si un objet volumineux me ramonait les parois du vagin. Le soleil tape fort maintenant. Je suis trempée de chaud, je dégouline de sueur. Ses mains glissent sur mes hanches ruisselantes de sueur. Je sens qu’il doit s’y reprendre plusieurs fois pour me tenir. Je l’entends respirer fort Han… Han …han… Déjà 10 mn qu’il va et vient derrière moi. Mon cœur tape si fort dans ma poitrine que j’ai l’impression que je vais faire un arrêt cardiaque. Je sens qu’il accélère encore, me donnant de grand coups de hanches, ... et donc aussi de sa queue, qui doit maintenant être aussi épaisse que celle d’un …cheval ( ?) tellement je le sens écarter mon intérieur. Je ne hâlette plus… je suffoque ! Il se raidit. Il cri… Ahhhh… ! Il se retire d’un coup, et s’allonge dans l’herbe, son pénis dégoulinant de son jus blanc. Je bascule sur le côté et m’allonge à côté de lui. Je m’aperçois que j’ai encore le sac en moi. Le l’attrape et le retire doucement. Je dis… Moi : çà a marché ! En lui montrant le sac avec son sperme au fond. Il sourit. Je me penche vers son sexe qui se détend. Et le lèche un peu, timidement. Je veux profiter encore un peu de ce gland si beau et si prononcé. Je le gobe et passe ma langue autour. Il a un goût mélangé de transpiration, de sperme, et de banane … surement ...
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