1. été 2017, les vacances qui ont bouleversé ma vie (3)


    Datte: 25/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en contact avec son sein gauche. Je la regarde comme pour lui demander la permission et elle me fait un clin d’œil d’encouragement. Comme Brandi est penchée vers l’avant, ses seins pointent vers le bas. Je me sers de ma main comme d’un plateau que je mets en dessous du sein gauche. Je le soupèse puis je commence à le malaxer doucement. Sa peau est particulièrement douce et mes doigts s’enfoncent dans ce sein moelleux. On dirait du beurre. Ma marraine semble satisfaite que je prenne une initiative et, comme si elle n’attendait que ça pour continuer, elle reprend ses va-et-vient à un rythme plus soutenu. J’ai toujours son sein dans ma main et plus j’approche de l’éjaculation plus je le sers fort. Mon sexe est maintenant bien lubrifié et à chaque aller-retour, Brandi décalotte complètement mon gland. Ses mouvements sont de plus en plus amples et terriblement agréables. Elle a compris que je suis au bord de la jouissance alors elle accélère. qwhqnnie — Mmmmmh ! Avec un petit gémissement, je me vide en grosses saccades qui finissent au fond de la douche et sur ses jambes. A chaque nouveau jet de sperme, une onde de chaleur se répand depuis mon pénis jusque dans tout mon corps. Je ne crois pas qu’une masturbation m’ai déjà donné autant de plaisir. Je me rends compte qu’au moment de jouir, j’ai serré le sein de Brandi très fort et que j’y suis encore agrippé. Je retire ma main. Le sein est rouge à l’endroit où j’ai serré, mais je ne crois pas qu’elle ait eu mal… Peut-être même ...
    ... est-ce le contraire ? Nous nous redressons et je plante mon regard dans le sien. — Merci…Murmuré-je. Elle ne dit rien, se redresse, me fait un clin d’œil et pose un doux baiser sur mes lèvres. Moi, de mon côté, j’entreprends de passer le pommeau de douche sur ses jambes et ma verge pour enlever les traces de sperme qui restent. Nous sortons de la douche sans un bruit, nous nous habillons et allons regarder la télé. Nous regardons un film pas très intéressant, mais malheureusement il n’y a que ça. Au moment de la pub ma marraine me dit : — Tu sais, pour un puceau, tu doigtes bien. — À force de te le faire, j’y arrive bien ! Et j’ai un bon professeur. — C’est vrai que ça joue aussi. — Et toi, tu branles super bien. — Ah bah, merci ! J’ai essayé de te faire tenir plus longtemps pour voir si tu es endurant. C’est important l’endurance si tu veux donner du plaisir aux femmes. — Bah merci… ! Je suis heureux de ce que tu m’apprends sur ces choses-là. — Tu aimerais que je t’en apprenne plus ? — Oui, mais… — tu aimerais ou pas ? Je veux bien t’apprendre par la pratique comme nos dernières petites séances. Mais avant de continuer, je tiens à m’assurer que tu en as vraiment envie et que ça restera bien entre nous. Personne ne doit savoir. — Oui oui, j’en ai vraiment très envie, et personne ne saura. — Très bien, je t’apprendrai tout ce que je sais pour que tu puisses donner un maximum de plaisir aux femmes. Sur ces mots, elle me fait un petit bisou sur la joue. On se regarde, mais on ne dit ...