1. La plage (Chapitre 3)


    Datte: 25/04/2020, Catégories: fh, fhhh, couplus, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio,

    ... mon oreille : — Tu ne m’en veux pas trop… Tu as aimé… ?— Non, je ne t’en veux pas, et j’ai aimé, mais pas comme je l’aurai imaginé…— Je n’ai pensé qu’à toi… Murmure-t-elle. Et j’ai envie de toi…— Moi aussi… Lui réponds-je en la renversant sur la banquette, le dos contre la portière. Presque brutalement, je glisse les mains sous sa jupe, saisit son slip et l’arrache, ouvre mon pantalon. Je bande comme un âne, la tire par la jambe. Elle m’aide en s’ouvrant, se colle à moi, défait ma chemise. J’écarte son chemisier toujours ouvert et me rue sur elle. Je la pénètre d’un coup, d’une poussée. Elle est trempée, brûlante, et hurle sous l’intromission. Nous rugissons, soudés l’un à l’autre. Je la baise et elle me baise. Je la prends sauvagement, elle se donne violemment. Sans un mot, farouchement, nous copulons animalement. J’oublie Denis, la voiture qui roule. Je n’ai plus devant les yeux que la vue de Bénédicte quelques instants auparavant, nue, indécente, exhibée, empalée publiquement, et je libère d’un coup toutes ces pulsions, cette pression emmagasinée. Elle le comprend, et murmure, la bouche collée à mon oreille — Baises-la ta pute… Défonce lui la chatte, punis la pour avoir baisé avec un autre… Je t’aime… Je ne comprends plus ce qu’elle me dit, j’entends seulement sa voix qui se fait plus aiguë, se transforme en cri : — Oh oui… Je jouis… Je jouis… Elle explose. Je suis incapable de la suivre. Je n’ai pas le temps de jouir. La voiture roule toujours. Elle m’enserre de ses ...
    ... jambes, me branle de ses muscles intimes, me caresse les tempes, et murmure : — Je t’aime… fais-moi l’amour encore… Et je fonds, je fonds de tendresse, de bonheur, d’amour… Je me concentre à nouveau sur elle. Elle comprend et me parle toujours : — Oh oui… Encore fais-moi l’amour… Doucement… Viens dans mon ventre… Viens jouir dans mon ventre… Lentement, doucement, je la pistonne, je me concentre sur mon plaisir, le sens monter, se concentrer, je sens un poids immense se poser sur mon dos, je sens les muscles de mes épaules se tendre, un bourdonnement envahir mes oreilles, et soudain une explosion, un déferlement de plaisir, un coup de tonnerre dans mes reins. Je gicle dans son ventre, interminablement, avec une violence inconnue, et je sens s’enfuir les poids, le brouillard, la tension… Je me sens vidé, anéanti, sans force, sans muscles, tandis qu’elle me retient dans ses bras, me caresse la nuque, le dos, murmurant des mots d’amour doux et tendres. La voiture roule toujours. Denis a eu le bon goût de ne pas s’arrêter, et lorsqu’il nous annonce que nous arrivons, nous n’avons pas changé de position, Bénédicte et moi. Je suis vidé, hagard. Nous nous séparons de notre ami sans presque un mot. Je m’affale dans le fauteuil de ma voiture, côté passager. Bénédicte reste un instant au côté de Denis, l’embrasse et prend le volant. Elle démarre et me demande, la voix à peine audible : — Denis voudrais que nous allions prendre un dernier verre chez lui… ? Tu veux… ?— Tu es en forme… ? Lui ...
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