Le chalet des plaisirs - Histoires de Sexe

Le chalet des plaisirs

... près, d’autant plus qu’il est clairement plus proéminent que le sien. Comme elle aime que Paul lui fasse, elle alterne suçons et coups de langue sur le petit bouton de son amie, ce qui a pour effet d’accélérer les mouvements de bassin de Marie — Hmmm… oui, Cathy. Je vais jouir, gémit Marie. S’il te plaît, ne t’arrête pas. Cathy est maintenant fortement excitée à l’idée qu’une femme va jouir sur son visage. Elle attend ça avec impatience, pouvoir goûter aux saveurs de l’orgasme de son amie. Pour lui donner le coup de grâce, elle ôte l’une de ses mains des fesses de Marie pour venir pincer un de ses tétons sensibles. Le résultat est immédiat, et, dans un grand cri animal, Marie jouit. Elle jouit longtemps, sans aucune retenue, sa cyprine inondant le visage de Cathy. — Oh. Ohhhhhhhhhhhhh… Mon Dieu, Cath… ahhhhhhhhhhhhh… Marie jouit si fort qu’elle en bascule et est obligée de frapper des mains sur le sol pour ne pas écraser son amie. Mais cette dernière réussit à maintenir sa langue sur le sexe de Marie. Puis elle insère trois doigts dans le vagin de Marie et une vague orgasmique submerge celle-ci. Marie n’arrive pas à le croire. C’est la première fois qu’elle connaît deux orgasmes si rapprochés. Son corps tremble, pendant qu’elle hurle sa jouissance. Des flots continus de mouille inondent le visage de Cathy qui a du mal à tout absorber avec sa langue. Finalement, elle se laisse tomber à côté de Cathy, son visage tourné vers le plafond les yeux dans le vague tellement elle est ...

... tournée vers ses émotions intérieures. Quelques minutes se passent, juste troublées par les respirations haletantes des deux amies. — J’arrive pas à croire qu’on n’ait pas réveillé Paul ! dit Cathy alors qu’elle embrasse la main de Marie.— Oui, c’est dingue, répond Marie. Puis elle reprend :— Ça y est ! On est des lesbiennes ! Marie se met à rire, sachant que c’est quelque chose qui perturbait Cathy. — Je n’en serais pas une, si tu n’avais pas profité de moi, rétorque Cathy en riant aussi. Et puis j’adore prendre la queue de Paul en moi, donc je ne suis pas techniquement une lesbienne, mais une femme bisexuelle. Na ! Elle reprend, plus sérieusement : — Visiblement, c’était aussi bon pour toi que pour moi tout à l’heure. Tu imagines, si Paul nous avait vues comme ça ?— Oh oui ! Ça aurait été un rêve transformé en réalité pour lui. Si un baiser comme celui de tout à l’heure peut l’exciter comme il l’était, imagine ce que ça, ça lui aurait fait ! rigole Marie.— Je crois qu’il aurait tellement joui qu’il y aurait du sperme partout ici ! rigole Cathy.— Oui, mais au moins c’est un gars bien. Il crève d’envie de me baiser, ça se voit, mais il ne me fera absolument rien tant que tu ne le l’autorise pas.— Je sais. J’ai beaucoup de chance de l’avoir. Mais tu sais, je me sens un peu coupable maintenant. Il était tellement excité tout à l’heure et je n’ai rien fait pour faire redescendre sa pression, pas de fellation, rien ! J’étais moi-même un peu chamboulée et je n’ai pas du tout pensé ...