Le chalet des plaisirs - Histoires de Sexe

Le chalet des plaisirs

... aux Contamines, il neige assez fort et le paysage est magnifique. Les filles sont tellement excitées qu’elles se ruent dans le chalet pour l’examiner de fond en comble. La petite maison a deux chambres avec des grands lits, deux salles de bain complètes, une petite cuisine et un grand salon donnant sur une terrasse-véranda. Celle-ci s’étend sur deux côtés du chalet, avec, clou du spectacle, un magnifique jacuzzi de quatre places. La maison est excentrée et se trouve isolée au creux d’un vallon, entourée de sapins couverts de neige, achevant d’en faire une parfaite vue de carte postale. Les bagages sont rapidement déballés et ils filent louer des skis pour profiter des pistes dès que possible. Même s’ils ne peuvent skier que deux heures, ils reviennent au chalet, ravis et agréablement fatigués. Après une douche rapide et une collation préparée par Paul, ils décident de se détendre dans le jacuzzi. Paul a amené sur le sol de la terrasse-véranda, juste à côté du jacuzzi semi-intégré, un gros bloc de neige, dans lequel il a enfoncé quelques bouteilles de Corona, et quand ils sont confortablement installés dans l’eau chaude, il lui suffit de tendre le bras pour les attraper et les donner aux deux filles. Tous trois savourent les effets massant du jacuzzi sur leurs muscles fatigués, sentant les tensions disparaître de leur corps. Après quelques minutes de contentement silencieux, Marie finit par parler : — C’est juste divin ! Je suis tellement heureuse que vous m’ayez poussée à ...

... venir. Elle sourit à Cathy et à Paul. — Tu vois, sourit Cathy, je savais que tu avais besoin de faire un break et je savais que ça ne poserait aucun problème.— C’est vrai ! C’est top ! Je suis content que tu sois là, Marie. Comment pourrais-je me plaindre ? Assis dans un jacuzzi avec une bonne bière, de la bonne nourriture et deux filles divinement sexy, rigole Paul.— Calme-toi, mon chéri, dit Cathy. Laisse tes hormones de mâle au placard.— C’est juste un mec, Cath. Je n’en attendais pas moins de sa part, renchérit Marie.— Il faut toujours qu’il ramène tout au sexe, mon mari, renvoie Cathy. Les deux filles s’esclaffent. — N’importe quoi. Je ne pensais absolument pas à ça, dit Paul. Ce qui n’est pas exactement la vérité. — Paul, dit Cathy, ne nous raconte pas de conneries !— Quelles conneries ? dit-il en riant.— Je te connais et je sais exactement à quoi tu penses. Rien ne te ferait plus plaisir que d’un coup de baguette magique, nos maillots de bain disparaissent ou tout simplement qu’on se foute à poil devant toi.— Oui, j’avoue, c’est vrai, mais je n’ai pas encore réussi à vous faire boire assez pour ça, rit Paul.— Tu peux rêver, dit Cathy. Tu es tellement prévisible.— Les mecs le sont toujours, ajoute Marie. Je parie qu’on pourrait deviner à quoi il pense avant même qu’il le pense, dit-elle en regardant son amie.— Oh, sans aucun doute. Ça fait longtemps que j’ai appris que sa queue est son principal organe de la pensée, répond Cathy avec un clin d’œil à son mari.— Tu sais, dit ...