1. Mon fils, mon maitre (4)


    Datte: 28/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de mon petit manteau de fourrure dans le hall d’entrée et je le suis sans savoir ce qui m’attend. Il me fait monter à l’arrière de ma luxueuse berline allemande et au passage nous récupérons Sarah devant son petit pavillon qui se trouve à l’entrée de notre propriété. Antoine la fait monter à l’arrière près de moi et il prend la route en disant qu’aujourd’hui il va être notre chauffeur de maître (ou plutôt de maîtresse !). Bien entendu, Sarah et moi ne pouvons nous empêcher de nous câliner sur la banquette arrière pendant que notre chauffeur nous conduit Dieu sait où. Après un temps qui m’a paru trop court tant nous étions occupées Sarah et moi, nous arrivons dans la grande ville voisine située à près de 120 kilomètres de la maison. Il est déjà 13h et Antoine s’arrête devant les portes d’un grand restaurant où il nous invite à entrer. Nous y sommes fort bien accueillis mais il faut dire que c’est un endroit que je fréquente avec Olivier lorsque nous sommes de passage dans le coin. Après un bon repas gastronomique, mon fils décide de nous emmener flâner en ville dans les rues commerçantes. Sarah et moi prenons du plaisir à faire du lèche-vitrine jusqu’au moment où nous passons devant une boutique de lingerie de luxe. Mon fils me tire à lui et me glisse à l’oreille : — J’aimerais que vous achetiez de jolies guêpières en prévision de la soirée. — Une soirée, mais à quoi penses-tu mon chéri ? — Sève, je veux que tu achètes une guêpière et que tu en offres une à Sarah ! Pour ...
    ... le reste, on verra plus tard, c’est une surprise !! me répond-il sur un ton sec. — Bien, maître ! Dis-je en baissant les yeux, prenant mon air de soumission. Nous entrons dans la boutique et une jeune femme d’à peu près 25 ans ne tarde pas à s’occuper de nous. Antoine nous suit de près et n’hésite pas à donner son avis. Il souhaite que nous portions la même guêpière afin que l’on nous prenne pour des sœurs. Il veut qu’il y ait de la dentelle et que nos poitrines soient soutenues par un balconnet afin que l’on puisse voir nos tétons pointer. La jeune femme qui s’occupe de nous semble un peu déstabilisée et, le rose aux joues, elle présente bon nombre de modèles à mon fils. Elle n’ose plus nous demander notre avis tant Antoine est directif. Il opte enfin pour un modèle en fine dentelle et satin noir qui épouse bien la forme de nos corps et dont le buste ne fait que soutenir nos poitrines. La vendeuse nous accompagne vers les cabines d’essayage et Antoine demande à ce que nous entrions dans la plus vaste pour pouvoir nous voir toutes deux ensemble. Gênée, la vendeuse rebrousse chemin et nous laisse avec notre maître. Une fois que nous avons enfilé nos guêpières, Antoine semble satisfait mais fait appel à la vendeuse pour qu’elle donne son avis. — Madame, pourriez-vous venir voir et me dire ce que vous en pensez, s’il vous plaît ! Dit-il avec un petit sourire en coin. — Oui, monsieur, tout de suite. Répond la vendeuse en essayant de dissimuler son trouble. — Alors, comment les ...
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