1. Post-divorce - épisode 8


    Datte: 27/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou

    ... viendrai ce soir vers 20h. Avant que je n’arrive, faites-vous un lavement. Jusqu’à ce que votre conduit anal soit parfaitement propre. Ensuite je vous empalerai et vous deviendrez ma femme. Sommes-nous d’accord ?- Oui. Ce soir à 20h. Chez moi.A moitié dans un état second, je lui donne mon adresse puis je quitte le magasin. Jusqu’à la sortie, je sens son regard sur moi. Une fois dehors, je prends une longue bouffée d’air comme si je sortais d’une longue apnée. En chemin pour regagner le bureau, je m’aperçois que j’ai éjaculé sans même m’en rendre compte.Une fois mon bas ventre nettoyé de mon mieux, je termine la journée de travail comme un zombi. Je suis terrifié à l’idée de revoir l’homme ce soir mais je suis déjà sous sa coupe et je le sais. Je suis sa chienne qui va gouter à son gros os jusqu’à en devenir esclave comme il aime à le dire.Une fois rentré chez moi, je fais le ménage à fond sans parvenir à m’expliquer pourquoi puis je me dispense un long lavement jusqu’à ce que l’eau que j’expulse soit totalement claire. Je n’ose pas me lubrifier vu que Monsieur N’dialo n’a pas donné de consigne à ce sujet. Je recense tout ce que j’estime comme potentiellement utile dans la maison pour des jeux sexuels mais la collecte se limite à quelques cordelettes et des pinces à linge. Après avoir pris une douche, j’hésite sur la tenue à adopter. Je décide de simplement porter mon peignoir en restant nu dessous.Il arrive à l’heure prévue. Il ne sonne pas à la grille mais traverse le ...
    ... jardin et frappe sèchement à la porte. Il ne porte plus son uniforme de vigile mais un costume de marque luxueux. Je n’ose rien dire quand je m’efface pour le laisser entrer. Toujours silencieux, il visite le rez de chaussée puis s’affale dans le canapé en soufflant plus pour lui-même qu’à mon endroit :- Quelle journée !Je reste planté au milieu du salon comme un idiot, ne sachant pas quelle attitude adopter. Il me laisse mariner de longues minutes puis pose enfin son regard dur sur moi :- Enlevez le peignoir ! Approchez ! Tournez-vous ! Penchez-vous en prenant appui sur la table basse ! Bien… Cambrez-vous maintenant !Sans prévenir, il écarte mes fesses d’une main et enfonce un de ses gros doigts dans mon anus, le fait aller et venir trois fois puis le retire et déclare à nouveau « Bien ». Je reste en position pendant qu’il se lève puis se déshabille lentement en prenant soin de bien plier ses affaires sur une des chaises du salon. Il est terrifiant : très musclé et en même temps à la limite de l’obésité. Son sexe démesuré strié de veines pend le long de sa cuisse comme un câble obscène terminé par un gland menaçant de la taille d’une grosse mandarine. C’est clairement le plus gros membre que j’ai eu l’occasion de voir en vrai et de loin. Il revient s’assoir dans le canapé. Je n’ose toujours pas bouger lorsqu’il demande :- Michel, c’est bien ça ?- Oui.- Oui Papa N’Dialo.- Oui Papa N’Dialo.- Bien. Dorénavant tu t’appelles Ndoumba ? Ça signifie « pute » en congolais. Tu aimes ?- Oui ...
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