1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 615)


    Datte: 27/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... attendre un quelconque ordre, soumis Endymion MDE se lécha les babines pour récolter un maximum de foutre. Maitresse Marina l’aida, pour cela elle cueillit du bout de son index le sperme hors de portée de sa langue, et lui fit lécher ses doigts. - Ses couilles sont loin d’être vides, mais le temps m’est compté, je vous le laisse Mesdames, vous n’avez qu’à le mettre à la trayeuse, jusqu’à ce que la source soit tarie. Pensez à bien récolter son foutre, je suis sûr qu’Endymion MDE s’en régalera plus tard. Monsieur le Vicomte, un sourire vicieux aux lèvres, attrapa soumis Endymion MDE par son collier, le fit se redresser et lui ordonna de le suivre. Il l’entraina ainsi tenu fermement dans les longs couloirs pour le conduire dans une salle de douche commune. - Tu as dix minutes pour te laver correctement ! Maître CharlEd resta là, bras croisés, regardant attentivement son chien soumis se laver sous cette eau terriblement fraiche. De temps à autre, il ordonnait : - Ton cul, lave le correctement, glisse toi un doigt savonneux dans ton fion et rince toi bien, petite chienne. Et lorsqu’il eut décidé que l’esclave fut propre, il lui tendit une serviette et lui demanda de s’éponger et se sécher. Il profita de cet instant, pour lui réinstaller sa cage de chasteté, puis l’emmena dans une autre pièce, jouxtant la salle de bain. Là, il y avait une femme, qu’il n’avait jamais vue jusqu’ici, elle devait avoir une cinquantaine d’années, bien en chair, les cheveux relevés en chignon, un air ...
    ... méprisant et autoritaire, de grands yeux ronds dominants. Ce qui frappa le soumis c’est que ce visage sévère lui rappelait quelqu’un, une certaine ressemblance avec une de ses connaissances, mais qui ? Pour le moment, il ne savait pas à qui cette femme visiblement dominatrice ressemblait … Sans mot dire, elle attrapa soumis Endymion MDE par son collier et l’entraina au beau milieu de cette pièce quelque peu exiguë et encombrée par des portants sur lesquels pendaient un grand nombre de vêtements. Elle figea son regard sur l’esclave, exigeant de lui qu’il se tienne droit, les épaules relevées et tirées vers l’arrière, les yeux au sol. Avec un mètre de couturière, elle prit quelques mesures : la longueur des bras, des jambes, le tour de son thorax, de son cou et de sa taille. Au passage, elle ne se priva pas de soulever sa cage de chasteté pour lui palper les couilles, comme ça, pour rien, ou tout au moins juste pour le plaisir d’humilier. Elle ne manqua pas d’ailleurs de faire un commentaire : - Mouais… Ca manque de souplesse tout ça ! Et pour cause, la douche froide avait fait rapetisser le sac du chien soumis. Monsieur le Vicomte, toujours présent devenait impatient, il interrogeait cette femme en lui demandant si elle en avait pour longtemps. - Ah Charles Edouard, tu me stresse tout le temps, tu sais que je n’aime pas ça ! lui répondit-elle en maugréant et en partant vers un placard mural. Elle apporta une chemise blanche, parfaitement blanche et particulièrement bien repassée. ...