1. Jasmine : princesse et salope (15)


    Datte: 28/04/2020, Catégories: Hétéro

    ... le tavernier. En voyant le plateau au sol et les chopes de bière renversée, il comprit qu’elle avait fait une bourde et se faisait punir devant les clients qui hurlaient de taper plus fort. Jasmine, les fesses rougies, acceptaient sa sentence en serrant les dents, les yeux fermés avec de petites larmes coulant sur ses joues. Devant cette scène, les envies de domination et de bestialité revinrent immédiatement dans la tête du Génie et plus tard dans la soirée, une fois Jasmine rentrée du travail, il ne fit que l’enculer sans effleurer son vagin, et l’obligea à nettoyer sa queue poisseuse. Durant toute la séance, il l’insulta de tous les noms et lui cracha au visage. Ainsi se terminait une semaine de travail continu pour Jasmine qui était épuisée. Le Génie allait lui accordé une journée de repos relatif avant de la ramener à l’école. Journée qu’ils allaient, évidemment, passer dans Agrabah. Le lendemain, ce fut une nouvelle la princesse et son garde du corps qui sortir en ville et non un maître et son esclave. Ils déambulèrent dans les rues d’Agrabah en parlant aux gens, serrant des mains, adressant des mots compatissants aux plus pauvres. Comme lors de leur dernière sortie, le Génie constata la grande popularité de Jasmine. Mais il remarqua aussi et surtout que les femmes semblaient se méfier d’elle tandis que les hommes la regardait d’un air curieux, amusé voire lubrique. Tant que la princesse et son garde du corps évoluaient dans des quartiers riches ou au moins bien ...
    ... fréquentés, les comportements étaient corrects. Par contre, lorsqu’ils entrèrent dans les bas quartiers de la ville, les langues de délièrent. Les insultes ou les moqueries fusaient sur le fait qu’elle ait sucé un mendiant ou à propos des rumeurs disant qu’elle travaillait dans une taverne et finissait régulièrement seins nus. Jasmine accusait le coup car elle semblait tenir à sa popularité et ne comprenait pas qu’en donnant du plaisir, on ne satisfasse pas les gens ! — Comprenez, majesté, expliqua le génie, peu de gens vous ont vu et ils se basent sur des rumeurs, des on-dit… Plus vous « satisferez » réellement de gens, plus ils vous aimeront ! — Vous croyez, Maître ? — Oui, mentit le Génie qui espérait au contraire détruire la réputation de la princesse en faisant d’elle une pute. Ils marchèrent encore un moment, à la fois sous les encouragements et les insultes, en passant parmi des pauvres gens qui la touchaient soit pour le remercier soit pour juste palper son cul. Puis, au détour d’une ruelle, ils croisèrent des jeunes qui mendiaient, chapardaient, et emmerdaient les honnêtes gens. Le Génie reconnu le groupe de gamins qu’ils avaient croisés une première fois dans Agrabah alors qu’il promenait Jasmine en esclave. Ils avaient alors avoués fantasmer sur la princesse et c’étaient amusé de la ressemblance de l’esclave avec la fille du Sultan. Le Génie tenait là une occasion de tester Jasmine. — Hé vous là, cria-t-il aux jeunes, votre princesse veut vous parler ! — Les sourires sur ...