1. Un don particulier (2)


    Datte: 28/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    CHAPITRE 2 : JULIA 5h35. Mon réveille sonne et j’émerge difficilement de mon sommeil. Sans un bruit, je me lève, enfile mes vêtements et descends à la cuisine. Comme chaque matin, alors que je prépare mon bol de café soluble dans lequel je vais tremper mes tartines de beurre, je ne peux m’empêcher de repenser aux événements d’hier. Ils sont assez répétitifs, peu de changement de jour en jour, mais j’aime toujours autant ma vie. La femme dont je suis tombé amoureux cachait une véritable cochonne prête à tout pour moi. Combien de fois m’a-t-elle sucé hier ? Quatre ? Oui quatre fois en moins de quatre heures. Rien que d’y penser, ça réveille ma virilité qui se met vite au garde à vous. J’ai terriblement envie de me toucher. J’essaye de chasser cette envie de mon esprit, mais plus j’essaye, plus je vois la bouche de Mathilde faire des allers-retours baveux sur mon membre inférieur. N’y pouvant plus, je déboutonne mon pantalon et plonge la main à l’intérieur. D’abord doucement, puis très vite, ça devient frénétique. Je vois Mathilde. J’entends les bruits de succion. Et très vite, je jouis dans un sopalin qui traîne sur la table. Quelque part, j’aihonte, mais c’est tellement bon. On a tous nos petites faiblesses, non ? 5h58. Comme d’habitude, je pars juste à l’heure. Je monte en voiture et file bosser. Mais sur le chemin, quelque chose me revient en tête. Quelque chose que j’aurais dit juste avant de sombrer. « Tu ne penses pas que ça serait bien qu’il y ait une autre nana qui ...
    ... t’aide de temps en temps ? » Ai-je vraiment dit ça ? C’est le genre de moment où on est plus endormi qu’éveillé, mais où on arrive tout de même à dire des trucs. Insensés la plupart du temps, mais tout de même. « Tu ne penses pas que ça serait bien qu’il y ait une autre nana qui t’aide de temps en temps ? » Oui, j’ai dû le dire. Plus j’y pense, et plus j’en suis sûr. Mais pourquoi ai-je dit ça ? Comment ai-je osé ? En fait, c’est simple, la fatigue a sucré toutes mes limites et j’ai dit un truc complètement con qui s’avère être un gros fantasme de 90% des hommes. Mais la vraie question est comment Mathilde va le prendre ? Pas mal j’espère. J’hésite à lui envoyer un texto, voire même à l’appeler. Mais non. En fait, je me dis qu’il y a quelque chose de plus profond que ce simple fantasme masculin. Je crois que j’étais sincère, que c’était pour elle que je disais ça. C’est logique quelque part. Elle accepte d’avaler uniquement pour me faire plaisir, mais au fond de moi, je sais que ça n’est pas son plus grand kiff. Et puis hier, elle a quand même passé quatre heures complètes à s’occuper de moi, plus le temps qu’elle passe à préparer le repas et à entretenir la maison. On pourrait prendre une femme de ménage, mais je suis conscient que les « corvées sexuelles » sont tout aussi pénibles. 18h20. Toute la journée, je ne cesse de repenser à ça. Je suis moins efficace que d’habitude et décide du coup de partir plus tôt du bureau. Ça surprend un peu mes collègues, mais vu mon efficacité ...
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