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L’ORGASME. (1/1)
Datte: 28/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Je suis jolie fille du haut de mes dix-neuf ans, quand Serge mon copain a réussi à ce que nous nous isolions dans la chambre de ses parents pendant la sauterie qu’il organisait. Être vierge jusqu’à cet âge paraissait incongru à mes copines quand nous parlions de nos mecs au lycée. La plupart d’entre elles l’avaient fait deux à trois ans plus tôt. Nous étions six copines et je fermais la marche les autres racontant presque journellement les orgasmes qui les dévastaient la soirée ou la nuit précédente. Et puis ce soir-là Serge a eu l’honneur de pouvoir dire un jour à ces copains les soirs de beuverie que Jenifer c’est moi qui lui ai fait atteindre le premier le nirvana. J’avais déjà eu des copains qui m’avaient couché sur un lit mais chaque fois tout avaient foiré. J’ai même eu le cas de l’un d’eux qui au moment de bander c’est endormi alors que je commençais à le sucer. Ce sont ses ronflements qui m’ont fait comprendre la situation alors que je cherchais désespérément à ce que sa queue prenne du volume pour pouvoir éclater mon hymen. Serge lui a fait rouler mon string au bas de mes jambes et prestement la glisser dans la poche de son pantalon. J’ai appris plus tard qu’il était fétichiste et qu’elle allait compléter la collection qu’il avait de tous les morceaux de tissu qu’il nous avait chipé. Avec lui pas de fioriture droit au but et rapidement je me suis trouvé avec sa queue au fond de mon vagin sans qu’il prenne la peine de me brouter pour me faire lubrifier. Un aller ...
... trois retours et il remplissait sa capote m’enlevant ma membrane mais oubliant de m’apporter le grand frisson que les autres copines avaient toute ressentie. Le lendemain au bahut c’est dans les toilettes des filles que nous avons recommencées et une nouvelle fois, il a joui oubliant qu’il avait une partenaire qui attendait le grand plaisir. Il a été presque trois mois mon amant sans jamais me donner l’ombre d’un frisson, vite entré et vite sortie ayant déchargé. J’en ai eu rapidement mare de dire à mes copines. • C’était bon, j’en mouille encore. Ou encore. • Avec lui je prends mon pied à chaque fois que sa bite me défonce. Mon pied je l’ai pris pour lui mettre aux fesses le jour où je l’ai surpris dans une autre soirée à sauter une blonde siliconée d’une trentaine d’années profitant de ce que son mari était parti à l’étranger. J’étais donc dépucelé mais sans jamais avoir ressenti le moindre orgasme. Et puis après une période d’abstinence ou mes copines recommençait à m’emmerder pour savoir qui étaient le suivant j’ai été pendant six mois dans l’incapacité de leur dire qu’Adrien le père de Josette, l’une des six amies me faisait faire des cinq-à-sept dans un studio que l’un de ses amis lui prêtait avant de rentrer de son travail. Avec lui j’ai appris à faire l’amour mais surtout le kama soûtra car nous baisions dans toutes les positions possibles que son cerveau malade lui faisait inventer. Il me limait un temps infini et je restais toujours sur ma faim alors pour le satisfaire ...