1. Les Vacances d'un futur ancien puceau (5)


    Datte: 28/09/2017, Catégories: Erotique,

    Trois nouveaux jours s’étaient écoulés depuis notre petite escapade à la plage naturiste. Entre temps, mes parents, Louane et moi avions rendu la voiture après en avoir largement profité. Pendant ces trois jours, Louane et moi avions passé beaucoup de temps ensemble à discuter, nous taquiner ou jouer à diverses activités proposées par l’équipe d’animation. Nous avions fini de nombreuses fois à l’eau suite à nos défaites aux parties de fléchettes – j’étais réellement mauvais à ce sport -, mais nous en redemandions toujours. Nous avions également profité des parties de water-polo, en plein après-midi. C’était extrêmement agréable de se mouvoir tout en demeurant dans la fraîcheur de l’eau de la piscine de l’hôtel. En cette soirée, Louane et moi étions, comme à notre habitude, assis à une table du bar. Le vent, qui nous rafraîchissait généreusement malgré l’heure plus ou moins tardive, nous chatouillait le visage. La jeune femme, qui avait les cheveux détachés, dut les attacher en une queue de cheval brune afin qu’ils n’allassent pas davantage lui chatouiller les narines et risquer de la faire éternuer. Deux verres étaient disposés sur la petite table en bois nous séparant tous les deux. Nous sirotions nos apéritifs tandis que nous discutions de tout et de rien, même si les souvenirs de la plage revenaient assez régulièrement dans nos esprits. Elle m’en parlait toujours en souriant tandis que je ne pouvais que rougir ; c’était la première fois que je me montrais nu devant une ...
    ... fille, et la première fois que je jouissais à une si courte distance d’une autre personne. Elle me narguait toujours à cause de mes changements de couleur, mais je ne lui donnais jamais le loisir de la laisser entrevoir qu’elle pouvait m’agacer. Et pour être tout à fait franc, elle ne m’agaçait pas. Pas le moins du monde. Au contraire, j’appréciais sa compagnie, et ce en toute circonstance. Nos verres étaient vides lorsque Louane m’annonça la chose qui me fit m’apercevoir du temps qui s’était échappé : — Je ne sais pas si je te l’ai dit, Melvin, mais je pars demain, dans la matinée. Elle me regardait d’une manière si adorable avec ses yeux noisette que je déglutis péniblement avant que l’impact de sa révélation ne me frappât en pleine poitrine. Je sentis mon cœur gonfler ; une étrange sensation de mal-être naquit dans ma poitrine. — Alors j’aimerais qu’on passe une dernière soirée tranquille, rien que toi et moi, ajouta-t-elle tandis qu’elle attrapa son verre vide afin de jouer avec du bout de ses ongles. Je ne pouvais répondre, j’en étais incapable. Je parvins à peine à acquiescer tandis que je la fixais d’un regard qu’elle devait trouver niais. Pourtant, plutôt que de ricaner comme elle en aurait eu l’habitude, elle posa l’une de ses mains contre ma joue droite et me caressa tendrement la peau à l’aide de son pouce. — Tu es tellement adorable quand tu fais cette tête, avoua-t-elle. Je craque à chaque fois que je la vois. Je ne pus retenir un faible sourire. Il s’afficha comme ...
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