La perversité communicante
Datte: 29/04/2020,
Catégories:
Anal
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... route est longue. Silencieuse. Puis, à peine arrivée à sa maison, le silence est rompu.Tu ne dis rien à Ludo.Bien sûr que non. Mais il faut que tu me racontes.Oui, rentrons, j’irai chercher la petite après, Ludo ne rentre pas ce soir.Café ?Oui.Nous nous asseyons dans le canapé. C’était en Juillet, Sab se promenait avec les enfants sur les chemins quand elle a croisé un type en VTT, grand, barbu, qui roulait vite.BonjourSalut répondit-il. Et ça, ça l’a marqué. Un type qui répond avec un tel aplomb. Et il s’est retourné sur elle comme aucun homme ne l’avait fait dit-elle. Elle y a pensé le soir. J’ai compris. Le lendemain, pendant la sieste des enfants, elle prit le risque de quitter la maison et de faire ce petit bout de chemin dans l’espoir de recroiser ce type, pourquoi, elle ne sait pas, le magnétisme peut être. Mais rien. Puis son esprit fut quitté de ces pensées. Le samedi, en partant en course en famille, ils le croisèrent en train de courir, et machinalement, elle a levé la main pour le saluer. Il leva le menton. Mais Ludo lui demanda si elle le connaissait. Sa réponse fut confuse et Ludo surpris de sa réponse. Sans plus relever. Le dimanche après-midi de la même semaine, elle décidait d’aller marcher, il faisait chaud, basket, short, top. Elle montait la côte du dépotoir du village pour arriver en haut du plateau puis redescendre à la maison, une petite boucle simple. Et dans la côte, un vélo arrive derrière, son cœur se mit à battre à la chamade. Elle ne se ...
... retourne pas.SalutSalutC’est lui ! Dans un cuissard moulant. Mais il ne s’arrête pas. Pourquoi s’arrêterait-il d’ailleurs ? Pour me baiser, tout simplement. Me prendre là, me pilonner la chatte, me défoncer.Je n’en revenais pas de ses mots, sortis de sa bouche. Là. Cette bonne mère de famille, sérieuse, bosseuse, exemple pour nombreuse. Et un mari tout aussi sérieux.Elle déglutit et reprit. Arrivée en haut de la côte, le bellâtre buvait dans sa gourde. J’accélérais le pas pour arriver à sa hauteur.Fais chaud.Tu m’étonne.Sabrina enchantée.Enchanté. Mais il ne me dit pas son prénom le muffle. Je suis toute moite, de chaleur corporelle et climatique.Vous allez loin ?Non, je rentre au village.Dommage que je ne sois pas à pieds, je vous aurais accompagné.Ben marchez avec moi.Avec les godasses là, ce n’est pas simple. En effet, ses chaussures étaient avec un drôle de truc en dessous qui t’empêche de marcher correctement.Demain, je fais le même parcours. Pourquoi ai-je dit ça, je ne sais pas, en plus les enfants sont en vacances, je n’ai pas à loisir de me balader comme ça.Ben c’est bien. Réponse de tueur.Et il repart. Je rentre, je me déshabille moite et fait l’amour avec Ludo, ça n’a jamais été aussi bon, je me suis offerte à lui comme une salope. Il a été surpris et m’a demandé pourquoi tout cela. Je n’ai pas su lui répondre. La nuit est longue, je pense à LUI. J’ai encore envie de me faire prendre. Pourquoi ? Mais pourquoi ?8h00, je me tire des plumes. Les enfants dorment encore, la ...