Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin - Histoires de Sexe

Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin

... même demandé si je n’avais pas rêvé tout ce bonheur. Le soir venu, nous avons dîné sur la terrasse de l’hôtel mais, cette fois, sans exagérer notre consommation de vins et apéritifs. Au cours du repas, j’ai voulu prendre la main de ma convive mais elle s’est dérobée avec un sourire. Nos dialogues avaient quelque chose de bizarre comme si nous étions dans un état second, l’un et l’autre. Après le café, Jora me dit simplement : — Viens ! Cet appel était clair. Le moment était venu d’aller plus loin encore dans notre relation en y apportant la touche d’acceptation qui manquait peut être cette nuit à ma belle endormie. Dans la chambre, ma compagne organisa un éclairage discret et se mit devant moi en disant : — Ne bouge pas… Très doucement, elle m’enleva ma chemise et se mit à me griffer légèrement la poitrine, tournant autour de mes mamelons devenus ultra sensibles. Elle se mit à détacher ma ceinture, ouvrant mon pantalon et le faisant tomber à mes pieds. J’étais devant elle en mini slip, ma verge à demi bandée à cause de ses attouchements et de la situation. Mettant ses deux mains sur mes hanches, tout doucement elle a fait descendre le slip, me libérant ainsi. Pourtant, elle ne toucha pas à mon sexe. J’ai enjambé les vêtements qui gisaient à mes pieds et je me suis retrouvé nu devant elle. D’un geste preste, Jora dénoua son chignon et fit couler sur ses épaules sa luxuriante chevelure d’un noir de jais puis, me regardant dans les yeux… Ah ! Son regard comme de l’or en ...

... fusion… elle se débarrassa de sa robe par un habile mouvement par-dessus la tête et se trouva devant moi seins nus, simplement vêtue d’un slip brésilien blanc, en soie, haut sur la taille et mettant bien en valeur ses fesses musclées. Ce slip moulait avec précision son sexe, ses lèvres apparaissaient en relief malgré l’abondance de la pilosité. Une large auréole tachait le devant, ce qui était bien la preuve que pendant le dîner elle avait déjà imaginé notre intimité. Sa poitrine, que je connaissais déjà pour l’avoir manipulée cette nuit dans une demi-pénombre, était de taille moyenne et ne présentait pas le relâchement pourtant excusable à son âge. Ces deux fruits foncés étaient attirants. L’aréole était large et bleutée tandis que les bouts, bien dressés, avaient la taille d’une cerise. Tout en continuant à me regarder dans les yeux, elle ôta son slip et le lança au loin, d’un geste mutin. Nous étions maintenant nus à un mètre l’un de l’autre… Mon sexe était évidemment dans un garde-à-vous impeccable, le gland bien dressé vers le ciel. Jora, soulevant les bras, commença alors à mi-voix une lente mélopée dans sa langue, tout en tournant sur elle-même et en rythmant par des mouvements du bassin et de la poitrine. Elle s’est approchée de moi pour frotter son pubis contre ma verge dressée puis elle m’a caressé les hanches et les fesses, toujours en me regardant et en chantonnant. La scène était d’un érotisme intense et me semblait presque irréelle. Je n’avais toujours pas bougé mais ...