La suite des aventures avec son amant Pascal
Datte: 28/09/2017,
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... au-dessus du sillon des seins par une main fermée d’où les fines mailles d’or se dirigent vers les tétons qu’elles emprisonnent dans un léger anneau de caoutchouc très serré. Par-dessus, un chemisier qui pourrait sembler quelconque s’il n’était pas noir et transparent laissant voir, à peine voilés, deux magnifiques seins supportés par un soutien en fin cuir noir laissant les trois-quarts de la poitrine à nu. Le contraste de cette chaîne en or – symbole sous cette forme d’une certaine soumission – avec le noir de la tenue provoquait un effet particulièrement hypnotique. Mes yeux parvenaient, non sans peine, à reprendre leur excursion et découvrir la jupe de satin noir qui s’arrêtait quelques centimètres au-dessus du genou. Elle aussi aurait pu paraître classique si elle n’était pas équipée, devant et derrière, d’une fermeture Éclair argentée partant du bas jusqu’à la ceinture. L’une et l’autre n’étaient pas parfaitement fermées afin sans doute de donner un peu plus d’aisance pour marcher normalement… Normalement ? Quoique… En regardant Virginie avancer, les jambes gainées dans de magnifiques bas noirs satinés, chaussée d’escarpins noirs aussi hauts qu’effilés, je lui trouvai une démarche quelque peu guindée. — Ma chérie, pourquoi n’ouvres-tu pas un peu plus les fermetures de ta jupe ? Tu serais plus à l’aise pour marcher.— Hummm… Non, ce n’est pas vraiment ça…— Ah bon, elle est trop serrante ?— Non, non, je t’expliquerai. Étant à présent vraiment en retard, je pris la ...
... décision de reporter ce sujet à plus tard, et nous prîmes la voiture en direction de chez notre ami. Sa maison se trouvait à une dizaine de kilomètres de chez nous, et il ne nous fallut que peu de temps pour arriver devant la grille fermant l’accès de ce que l’on appelle couramment une belle propriété. Grille motorisée, allée bordée d’arbres, belle maison du dix-huitième siècle ; la classe, sans extravagances. Pascal nous avait dit lors de notre dernière rencontre qu’il s’agissait d’une maison de famille dont il est aujourd’hui propriétaire. En arrivant devant le porche, la porte s’ouvrit et la silhouette de notre ami se découpa sur un hall d’entrée éclairé doucement par un éclairage tamisé et des cierges adaptés à la taille de l’endroit. Pascal était habillé d’un costume sombre, d’une chemise blanche et d’une pochette assortie, le tout faisant ressortir son teint hâlé très typique des hommes ayant du sang italien. Virginie gravit les marches en premier, vêtue d’un manteau noir qui lui donnait l’allure d’une élégante jeune femme se rendant à un cocktail. Arrivée en haut de marches, notre hôte lui fit un baisemain dans les règles de l’art et nous nous fit une accolade, comme de vieux amis qui se retrouvent. La porte refermée, il débarrassa Virginie de son manteau et découvrit, les yeux brillants, sa tenue… — Ma chère, je suis très touché de voir que tu t’es habillée suivant mes désirs ; et cette chaîne imprévue que j’aperçois est des plus explicites… Je vis Virginie se cambrer ...