Baby-sitting (16)
Datte: 30/04/2020,
Catégories:
Transexuels
16 Ghislaine se tourna un peu sur le coté et sa bouche alla chercher celle de Karine. Celle-ci engagea avec douceur sa langue entre les lèvres qui lui étaient offertes : elle se laissait enfin aller à un peu de tendresse. Je me levai et passai dans le salon prendre un verre de jus de fruits. Quand je revins dans la pièce, les deux filles s’embrassaient toujours. Je défis complètement le zip qui maintenait ce qui me servait de jupe et enlevai aussi mon brésilien blanc, ne gardant que mon soutien-gorge rembourré artificiellement, mon porte-jarretelles, mes bas et les cuissardes. Je m’allongeai derrière Karine. Je profitais de ce qu’elle s’était tournée sur le coté pour dégrafer son soutien-gorge en cuir noir et libérer sa poitrine. Je me mis à caresser ses seins pendant qu’elle continuait à embrasser Ghislaine. Elle poussa un soupir de contentement sans s’arrêter et frotta ses fesses contre mon bas-ventre qui resta cependant en l’occurrence non pas "de marbre", mais plutôt de "guimauve" ! C’est en sentant cette caresse contre les poils de mon pubis que j’eus l’idée de faire une surprise à Ghislaine : j’attendis que les deux filles reprennent leur souffle pour demander à Karine de me céder sa place un instant. Je m’allongeai sur le dos en serrant mes jambes, de telle sorte que mon pénis semblait avoir complètement disparu. Je demandai à Ghislaine de se coucher sur moi en retroussant sa mini-jupe de cuir afin que sa toison pubienne se retrouve en contact direct avec la mienne. ...
... Elle s’exécuta, tout en demandant : — Sam, mais qu’est-ce que… ? — Ferme les yeux… Souviens-toi de Jo-Ann… Ghis’… — C’est qui, Jo-Ann? — C’est une fille qui a beaucoup compté pour Ghislaine, Karine, beaucoup compté… Ma belle rousse comprit immédiatement ce que j’avais en tête, et elle se mit à frotter son pubis contre le mien en gémissant doucement. Petit à petit, je sentais son excitation mouiller ma peau, car elle avait réussi à écarter ses grandes lèvres par les seuls mouvements de son bassin. De temps en temps, elle poussait de petits cris, sans doute quand son clitoris entrait trop directement en contact avec mon bas-ventre. J’avais accroché mes bras à ses épaules par-dessus son spencer de cuir rouge et l’encourageai à continuer ses mouvements. — Oh oui! Oh oui! Viens! Oui, viens… A mon tour, je fermai les yeux. Je sentais ses cuissardes enserrer mes cuisses, ce qui maintenait mon sexe (qui retrouvait un embryon de vigueur) coincé entre mes jambes. Je sentais tout son corps collé au mien. Je respirais dans ses cheveux et gémissais aussi fort qu’elle. Je me sentais devenir femme avec elle, j’eus l’impression que la jouissance même qui montait en moi était à 100% féminine. Je "bandais mou", certes, mais une vague de plaisir me submergeait petit à petit, je perdais le contrôle, et pour une fois, j’acceptais de me laisser aller! J’enfonçai ma langue autant que je pus dans sa bouche lorsqu’elle se mit à m’embrasser. Ma main droite se glissa sous son blouson pour caresser son ...