1. Soumettre Nicolas


    Datte: 26/06/2017, Catégories: f, fh, fplusag, Collègues / Travail fépilée, hsoumis, fdomine, humilié(e), chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation facial, nopéné, sm, journal, hsoumisaf,

    Résumé : Emma est aux prises avec un maître chanteur, Blackbird, qui la soumet en lui proposant des défis de plus en plus osés. 8 – Soumettre Nicolas Cher journal, Les choses empirent. Voilà une phrase que je ne pense absolument pas, moi qui t’avais fait vœu de sincérité. Je ne suis pas certaine en effet que la manière dont la situation évolue soit en effet à regretter. C’est regrettable pour Paul, sans doute, et pour mes belles paroles sur la monogamie. Mais quoi ! Je ne l’ai pas encore trompé, du moins, pas volontairement. Aujourd’hui, je suis encore allée au travail, suivant les instructions de Paul, avec une tenue affolante. Il s’agissait de la même qu’hier. Paul m’a dit qu’il n’avait rien trouvé de plus court, au-delà plus rien n’était décent pour aller au travail ! Je n’ai pas eu le droit à un petit plaisir avant de partir, puisque demain nous sommes en week-end, ce qui signifie aussi grosse partie de baise avec mon chéri ! Pardon d’être si peu délicate, mais voici une semaine que je subis les pires frustrations… Ma culotte, si j’en portais une, serait dans un état des plus… détrempés. Ce matin, je suis donc parvenue jusqu’au bureau sans que rien de particulier ne se passe. Mais à peine allumai-je mon ordinateur qu’un mail de Blackbird m’attendait. Nicolas n’était pas encore arrivé au bureau, aussi je décidai d’agir au plus vite. Je fermai la porte et revins à ma chaise. Je retroussai ma jupe jusqu’à ma taille, collai mon ventre contre le bureau et commençai à me ...
    ... masturber avec frénésie afin de mouiller au plus vite. À vrai dire, cela n’était pas difficile car chaque mail de Blackbird avait le don de faire couler ma petite fontaine intime. Je n’étais pas discrète, et si Nicolas était entré à ce moment-là, il m’aurait surprise dans une posture sans équivoque. Au bout de quelques minutes, les va-et-vient de mes doigts dans ma chatte – je m’étais glissé l’index et le majeur, d’abord pour en extraire plus de mouille à répandre sur le tissu – me firent tant d’effet que je jouis. Alors, je décidai de prendre la photo avec mon appareil. Afin de satisfaire celui qui, dans mon esprit, était déjà plus ou moins consciemment devenu « mon maître », je décidai de prendre une initiative. Il n’y avait toujours personne dans le bureau. Je pivotai ma chaise de manière à faire face à la fenêtre et d’être ainsi dos à la porte. Cela me permettrait de mieux me cacher en cas d’intrusion. Alors, je relevai mes jambes sur les accoudoirs de mon siège de bureau. La photo que je pris montrait non seulement la flaque de mouille produite sur le coussin de la chaise, mais aussi mon sexe grand ouvert, luisant et dégoulinant de son jus. J’eus à peine le temps de reposer mes jambes au sol et de rabattre ma jupe que la porte s’ouvrit, et Nicolas entra. Il me dit un bonjour timide, mais parut aussitôt remarquer mon trouble. En fait, je rougissais, gagnée par une bouffée d’excitation. Je lui répondis tout en me remettant à mon poste. J’avais eu chaud : une seconde de plus et ...
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