Moi, Aline, Shemale (2)
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Transexuels
... n’utilisions jamais le masculin pour moi, surtout en public. Elle lança par dessus son épaule en retournant dans la salle de bain : — Quoi que, vu ce que je vois, je devrais dire “MON” chéri… — Attends, lui dis-je. Je pris rapidement ma jupe et la posais sur mon bas ventre pour cacher ma bite. Cependant, la bosse que formait ma jupe simplement posée permettait plus de deviner que de cacher. — Je ne voulais pas te troubler, mais t’avoir vue comme ça, en train de te raser, ça m’a fait te voir autrement. Tu es belle Carine ! C’est la première fois que je te vois comme une femme et non plus comme ma sœur. Je me levai, faisant tomber ma jupe, le sexe toujours tendu en direction de ma belle, et l’enlaçai par derrière. Je posai ma tête sur son épaule et lui fit un bisou dans le cou. Faisant cela, je la sentis frissonner. Elle se retourna et pour la première fois de notre vie, nos lèvres se joignirent. Je ne bougeai plus, ne voulant pas rompre le charme. Après un moment que je serais incapable d’évaluer, nos lèvres se séparèrent. Gênés chacun de notre côté, nous avons détourné la tête un court instant avant de revenir vers l’autre et d’échanger un nouveau baiser. J’avais déjà eu l’occasion d’embrasser un ou deux garçons, ou quelques filles de notre bande de copines, mais jamais un baiser ne m’avait fait cet effet. Là, c’était comme une explosion de sens, je ne voulais plus qu’une chose : embrasser cette femme, la caresser, découvrir son corps, l’aimer. Elle devait ressentir la même ...
... chose, car lentement elle me repoussait vers mon lit en défaisant son kimono. Arrivés contre le dit meuble, elle me poussa dessus et grimpa au dessus de moi, reprenant le baiser où nous l’avions interrompu. Elle se tortillait sur moi, la chatte à la hauteur de ma bite, mais ça n’entrait pas. Je pris alors mon sexe, tendu comme jamais il n’avait été, et le plaçais entre les lèvres suintantes de ma Carine chérie. Elle descendit d’un coup dessus, nous faisant gémir de plaisir l’un et l’autre. Nous étions tellement excités que notre premier coït ne dura pas longtemps. Nous jouîmes rapidement. Je tentais de l’avertir que j’allais éjaculer, mais elle resta sur moi et lorsque je me lâchais en elle, je sentis son vagin me serrer comme un étau à chacune de mes giclées, comme pour traire mon sexe. Elle joussait en même temps que moi. Elle s’effondra ensuite sur moi, nos poitrines se frottant l’une contre l’autre et me glissa à l’oreille : — Depuis le temps que je te vois grandir, que je vois ta bite tous les matins quand tu vas prendre ta douche, j’avais tellement envie de savoir ce que ça ferait de la prendre en moi et… — Tais-toi ! lui dis-je en l’embrassant. Nous nous embrassâmes pendant un long moment, rattrapant le temps perdu, puis je sentis ma bite reprendre de l’ampleur. Carine ne manqua pas de le remarquer aussi et, avec un sourire, elle descendit lentement le long de mon corps en m’embrassant le cou, les seins, le ventre et finit par descendre du lit pour prendre en bouche ce ...